PUNTILA : Quand j'achète des chevaux et des vaches, je vais au marché sans y penser. Mais vous, vous êtes des hommes, et ça ne devrait pas être permis qu'on les négocie au marché. J'ai raison ?
LE MALINGRE : Bien sûr.
MATTI : Permettez, monsieur Puntila, vous n'avez pas raison. Eux ont besoin de travail, et vous, vous avez du travail, ça se négocie, que ce soit au marché ou à l'église, c'est toujours un marché.