Bertrand Marchal (II)

J'ai lu toute la série et je donne, ici, mon avis pour les cinq tomes:



A la fin des années 40, Kathy Austin, agente secrète britannique, suite à ses aventures au Kenya, est envoyée en Namibie où il se passe des phénomènes que l'on pourrait qualifier de surnaturels. Sur place elle constate de visu, au risque de sa vie, d'étranges animaux dont la taille est disproportionnées par rapport au réel mais aussi des personnages censés être morts et enterrés qui ressurgissent à la surface comme étant vivants. On peu citer Herman Goëring notamment.

D'aventures en aventures, aidée par son ami Vladimir, voir Kenya, après de nombreuses tentatives d'élimination physique et persuadée que la terre est envahie par des extra-terrestres, elle confiera ses doutes au plus haut sommet, aux chefs d'états. A charge par eux de prendre les décisions qui s'imposent.



Leo c'est du tout bon pour moi, même si, ici, il n'est que co-scènariste. "Les mondes d'Aldébaran" reste un excellent souvenir. La précédente série "Kenya" n'était pas mal non plus.

J'ai eu un peu plus de difficulté avec cette série que j'ai trouvée un peu longue parfois. Les textes sont de bonne facture et, même, s'il y a des invraisemblances elles sont là pour justifier l'époque et les aventures. Cependant, je crois que 3 tomes auraient suffi, notamment au sujet des phénomènes paranormaux relatifs à une nouvelle église et un pasteur, manipulé par des gens sortis de nulle part, ayant le don de lévitation, pour moi deux, voir trois pages auraient été suffisantes. Le reste est parfaitement expliqué, au lecteur d'en faire son bonheur ou pas.

Comme dit plus haut c'est bien écrit et le dessin de Marchal est attirant, même si, pour moi, Leo est un crayon au dessus. Mais je ne jette rien j'ai eu du plaisir à lire et regarder certaines scènes et, j'avoue, qu'il y a du talent chez ce dessinateur car ne dessine pas une Bd qui veut, notamment quand il y a autant de réalisme qu'ici. La couleur et les premières de couverture sont aussi réussies que pour Kenya, Rodolphe étant le dessinateur. Personnellement le passage de témoin s'est bien passé et si, au départ miss Austin n'est pas autant ressemblante, la transition se fait plutôt bien par la suite.

Je ne regrette, pas malgré mes réserves, cette lecture
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Amazonie signe le troisième cycle des aventures surnaturelles de Miss Austin, agent du MI6. Avec le Kenya et la Namibie la voici donc partie pour l'Amazonie car dans la grande forêt, chez des indiens cannibales, aurait été aperçu un grand homme blanc pouvant être un extraterrestre.



Un bon début d'histoire qui cultive son petit mystère et qui met en place les personnages. Les plus intéressant étant le consul et son franc parler et le prêtre du dispensaire. Les allemands, les méchants évidemment, me semblent assez cliché. Si ça reste plaisant à lire ça reste assez copié-collé par rapport aux autres tomes. Ca n'a pas l'air de se renouveler beaucoup au niveau de la conception.



Pour le dessin, j'accroche pas plus que ça à la ligne claire de Marchal qui comporte quelques hachurages disgracieux. J'aime pas trop non plus la colorisation que je trouve trop verdâtre.

Dernier tome de cette série dans l'exacte lignée du précédent.

Mon intérêt est allé crescendo du tome 1 au tome 3 pour retomber ensuite tout aussi rapidement sur les deux finaux.

J'ai eu l'impression que les deux parties n'étaient pas de la même main (de la même paire de mains, en fait, vu qu'ils sont deux au scénario).

Ce que je trouvais sympa dans la première partie est remplacé par des lieux communs, des ficelles élimées, des personnages transposés tels-quels depuis d'autres séries de Léo. Je ne vais pas m'étendre sur le final "comment va-t-on expliquer ça au monde?" que j'ai trouvé d'une facilité navrante.

Je me rends compte que je n'ai pas parlé du dessin dans mes billets précédents. Et bien, j'ai eu l'impression que celui-ci allait en déclinant au fur et à mesure des tomes. Le trait se fait moins fin, les couleurs plus criardes.

Bref, pas super emballée par l'ensemble.

Envoyé par le MI6 en pleine jungle amazonienne, Kathy va devoir faire la lumière sur le présence d'un homme étrange, possiblement un extraterrestre. Seulement elle n'est pas seule sur le coup puisque deux allemands antipathiques se retrouvent également sur place.



Un second tome enlevé, avec son lot de mystères, d'action, d'aventure dans la jungle et de méchants allemands. On passe un bon moment en compagnie de Kathy.

En parallèle on suit les investigations de deux anglais sur une fameuse météorite s'étant écrasée dans la région des Carpates et pouvant être la source des légendes sur les vampires.

Pour l'instant pas de lien entre les deux affaires mais ça ne saurait tarder, of course!

Kathy, aidé de son compatriote brésilien, cherche toujours à se sortir de la jungle où rode le danger mais aussi un immense homme blanc aux mystérieux pouvoirs.Les allemands quant à eux enchainent les déboires pour leur recherche de leur sous-marin perdu.



l'histoire suis son cours, on en apprend un peu plus sur l'origine de l'homme blanc, prénommé Joe par les allemands. Visiblement il faut écarter la piste de l'extraterrestre pour celle d'une mystérieuse météorite attirant le malheur.

On en saura certainement un peu plus dans le prochain tome, peut être le dernier si les auteurs suivent leur schéma précédent.

Après une foule de péripéties et d'interventions extraterrestres en tout genre (amies comme ennemies) Kathy Austin a découvert la terrible vérité : l'envahissement de la planète a déjà débuté et l'homme n'y ait plus désirable. Il faut alors regrouper les forces et frapper. Et bien sur c'est notre jeune et belle héroïne qui ira au casse pipe.



Ce tome cinq va venir clôturer le cycle de Namibia. Plus de mystères, plus de grande révélation, place à l'action et au dénouement.

L'action ça va. Plutôt agréable et dynamique, le scénario bien que très basique est facile à suivre et rythmé. Par contre une grosse déception pour le dénouement. En essayant de ne pas dévoiler la fin je peux comme même dire que tout est trop facile. La technologie extraterrestre résout tout en un claquement de doigt que ce soit pour ressusciter les mort ou pour effacer des mémoires tout ce qui c'est passé...

Namibia s'achève donc... mais les auteurs nous promettent un nouveau cycle qui sortira à priori sous le nom de "Amazonia".



Les dessins ont perdu progressivement de leur precision au fur et à mesure des albums. Et la colorisation n'est pas toujours au top non plus. Dommage...



Des nombreuses séries de science fiction de Léo, le cycle Kenya-Namibia est à mon avis très nettement en-dessous malgré une approche qui se veut différente des Aldébaran, Betelgeuse, Antares, Survivants, Centaurus et autres Terres Lointaines!

L'intrigue progresse peu dans cet album. Les nazis sont toujours à la recherche de leur trésor dans la jungle amazonienne et Kathy, quant à elle est poursuit sa quête de son extra-terrestre.



La seule nouveauté est la découverte d'une carte pouvant potentiellement mener à l'Eldorado. A ce stade, on voit assez mal comment l'ensemble de ces éléments vont pouvoir s'imbriquer.



Le graphisme reste toujours d'excellente qualité.

Kathy et Delio continuent leur périple dans la jungle amazonienne. La première cherche à lever le voile sur le mystère de l'homme blanc tandis que le second est plutôt à la recherche d'un trésor de guerre allemand.

Les Allemands quant à eux fouillent les bras du fleuve à la recherche de leur sous-marin disparu avec leur or.

L'histoire avance gentiment. On se laisse prendre au jeu de cette chasse aux trésors et aux mystères.

C'est le tome des miracles. Notre héroïne sort du coma et aux Etats unis, un petit pasteur de province devient le messie tant attendu par une secte appelée les fils d'Ezechiel et qui inquiète le MI5. L'intrigue est donc riche et captivante et les personnages évoluent dans des décors très réalistes et magnifiquement rendus par un graphisme d'excellente qualité.

Suite des (mes)aventures de Kathy Austin en Amazonie.

En parallèle nous suivons également la quête de deux Anglais bon chic bon genre en Transylvanie.

C'est assez poussif et j'ai eu du mal à m'intéresser aux quêtes des protagonistes.

De plus, la narration est, à mon sens, très moyenne avec des bonds dans le temps et dans l'espace que j'ai trouvés mal venus et ne facilitant pas l'immersion dans le récit.

Bof.

Comme pour le tome précédent, ce tome apporte son lot de retournements inattendus.

Cette histoire prend un tournant messianique et j'ai hâte de voir ce que Léo a derrière la tête.

Oserais-je croire à une fin surprenante? Pour le coup, je pencherais plutôt pour un très "Léotien" : en-fait-ce-sont-les-extraterrestres-qui-surveillent-le-monde-depuis-des-millénaires-qui-ont-fait-le-coup...bref, le final dans toutes les autres série de cet auteur, ou peu s'en faut.

Mais bon, on verra, plus que deux tomes

L’Afrique est décidément le lieu où il se passe des choses improbable. Après le Kenya le MI5 doit cette fois dépêcher Kathy Austin, leur agent, en Namibie. C'est que l'on croit avoir vu revenir d'entre les mort de nazi Herman Goring. ET puis il y a aussi ces affaires de vers mutants dévorant les récoltes ou de vieillissement prématurés des indigènes.



Nous retrouvons donc notre agent des services secrets britanniques, Kathy Austin, sur le sol de Namibie. Elle a toujours le caractère bien trempé et sait se défaire de toutes les situations même les plus compliqués.

Nous attendons le lien avec les extraterrestre du premier cycle rapidement même si ce premier tome ne fait qu'apporter son lot de mystères suivant le schéma classique des histoires de Léo.



Pour ce nouveau cycle nous changeons de dessinateur. Marchal prend la place de Rodolphe mais la transition se fait tout en douceur sans que cela soit préjudiciable aux personnages.

Bon décision fut prise de ma part de terminer cette série même si une certaine lassitude s'est installée.

Je retrouve donc la "fringante" Kathy Austin, perdue dans la jungle amazonienne, à la recherche d'une créature étrange aux pouvoirs immenses dont elle fait largement la démonstration et ce, à plusieurs reprises.

En revanche, on ne sait toujours rien de ses origines, simplement qu'elle fut le sujet d'étude de scientifiques peu scrupuleux, et qu'elle intéresse encore aujourd'hui, enfin à l'époque où se déroule l'histoire (1949), des gens pas forcément bien intentionnés.

Comme d'habitude, avec Léo, le récit avance peu, simplement par bonds, marquants, et trop! souvent en fin de tome. L'intrigue progresse ainsi très progressivement. Mais là où habituellement, le récit se concentre sur le côté humaniste dans ces moments de "creux", en insistant sur les réflexions, les interactions ou les sentiments des personnages, ici, il semble ne se focaliser que sur le côté action, et limite même se borne à ne donner qu'une description de ce qui se passe. Ce qui donne une histoire un peu fade, sans réelle profondeur.

Ce qui explique mon désintérêt et ma lassitude...

Le cinquième tome signe le dénouement de cette série... On verra bien...!

L'intrigue avance assez peu dans ce second tome par rapport au précédent. Nous voici cette fois plongés en pleine jungle. Les auteurs ont choisi de nous faire voyager dans des endroits où la nature offre un spectacle permanent (Kenya, Namibie et Amazonie) et c'est bien vu. Cela permet de varier les décors et de faire quelques belles cases.



Du côté de l'histoire, l'arrivée de la Castafiore ou de sa soeur dans ce décor apporte un peu de piquant.



Pour le reste de l'histoire, on attend que le scénario s'emballe un peu.



Le graphisme est toujours d'une très grande qualité.

Certes, le mécanisme de la série est maintenant bien connu, mais je ne m'en lasse pas. Les histoires sont efficaces et le graphisme très élégant est splendide. Cette série de plus nous fait voyager et cette fois, c'est en Amazonie que nous plantons notre tente. Un individu venu de l'espace semble s'être lié d'amitié avec une tribu anthropophage... Il nous reste à découvrir quel intérêt ce dernier peut avoir à se promener dans la jungle avec ses nouveaux amis.

Maintenant que j'ai tout lu, ou presque, de l'oeuvre de Léo, je n'ai plus grand chose à me mettre sous la dent. Lorsqu'un nouveau tome arrive enfin dans les bacs, il s'est écoulé un certain nombre de jours ( euh de semaines... euh non de mois, quand il ne s'agit pas d'années!!) entre celui ci et le précédent. Et il m'est donc difficile de me replonger dans l'intrigue de la série. Et malheureusement le tome 1 n'est pas disponible dans ma bibliothèque favorite. J'emprunte néanmoins ce tome 2, certain de mes souvenirs.

Et après lecture de celui ci, force est de constater qu'une certaine lassitude s'est installée. La "magie de Léo" ne fonctionne plus. Le récit n'apporte pas grand chose au genre, on a un peu de mal à croire au contenu de l'histoire, qui ressasse des thèmes des millions de fois traités, et Léo ( et Rodolphe) ne signe pas forcément son style dans cette bd. Alors que dans dans le cycle d'Aldébaran, sa créativité pouvait s'exprimer dans toute sa splendeur, ici elle semble "limitée" par l'aspect réaliste. En effet, le récit se déroule en Amazonie, lieu bien réel de notre bonne vieille planète alors que le cycle qui l'a fait connaître se déroule dans un monde complètement imaginaire et donc créé de toutes pièces. C'est comme si l'imagination de Léo était étouffée, bridée par le cadre de la réalité. On retrouve les sempiternels éléments et thèmes chers à l'auteur, et cela commence à faire un peu trop redondance, surtout lorsque vous avez lu Les mondes d'Aldébaran, le cycle parallèle des survivants, les cycles de Kanya et de Namibia, et même Centaurus. La déception qui en découle est d'autant plus flagrante que Léo a cédé les dessins à Marchal, que je n'aimais pas auparavant, mais qui obtiennent mon avis favorable désormais, et je ne sais pas pourquoi. De ce fait, toute la dimension créative de Léo n'est pas présente.

Si vous ne connaissez pas cet auteur, cette bd restera cependant un bon moyen de le découvrir, ce tome demeurant en soi un bon tome. On ne s'ennuie pas vraiment même si c'est un peu long à se mettre en place jusqu'à une révélation finale, qui ne nous apprend pas grand chose et nous invite à patienter quelques mois de plus pour lire la suite. Je me demande d'ailleurs si je ne vais pas attendre que la série soit entièrement sortie pour la lire d'une traite! Ce sera certainement beaucoup moins frustrant!

La peu farouche Miss Austin est de nouveau sollicitée car, suite à de déjà nombreuses péripéties, une étrange photographie arrive au MI6...celle d'un mystérieux personnage hypocéphale vivant au sein d'une tribu amazonienne...Miss Austin s'envole donc vers la jungle ou elle ne manquera pas de faire tourner les têtes, de croiser des individus peu recommandables et sans aucun scrupules et un visage ami.

Bref, on reprend la dynamique des cycles précédents et on leur met un nouveau vernis.

De là à dire que Léo à bien du mal à se renouveler sur l'ensemble de ses sagas...il n'y a qu'un pas.

Je crois bien qu'il s'est passé plus de quatre ans depuis que j'ai lu le tome deux de cette série. De retour de ma bibliothèque favorite avec ce tome en poche, je me dis soudainement que j'aurais dû emprunter de nouveau les tomes précédents pour me remémorer les évènements passés.

Mais en réalité, dès les premières pages et aidé par le petit résumé de début, je n'ai aucune mal à renouer avec l'intrigue et les personnages. Je ne saurai dire alors si c'est un bon ou un mauvais signe. Je me rappelle être resté sur un sentiment de lassitude concernant les deux premiers tomes et je constate avec frustration que c'est encore le cas ici.

En effet, sur la forme on ne s'ennuie pas puisque le récit se déroule sur trois axes et concernent des personnages différents, dont on sait que les péripéties vont converger naturellement et très logiquement d'ici là fin de la série. On suit en particulier l'héroïne de cette bd, Kathy Austin, élevée au rang de divinité par son auteur, comme toutes les héroïnes qu'il met en image, au milieu de la jungle et sur les traces d'un mystérieux individu, qui semble très protecteur à son égard, malgré elle.

C'est intéressant et assez plaisant mais loin d'être aussi captivant que le cycle d'Aldebaran. La magie n'opère plus, le côté aventureux et réaliste y étant certainement pour quelque chose. On se désintéresse du sort de l'héroïne assez vite.

Pour ma part, les deux tomes étant disponibles, j'irai jusqu'au bout de cet "arc" Amazonie, n'ayant pas à attendre des années avant de connaitre la suite et la conclusion. Mais l'engouement décline....

Les histoires parallèles dressées dans les tomes précédents commencent à s'entrecroiser.



On comprend un peu mieux l'histoire de Joe et pourquoi deux allemands sont venus se perdre en Amazonie à la recherche d'un sous marin de la dernière guerre.



Ce tome reste une sorte de course poursuite à la recherche du dit sous-marin où les personnages tentent tantôt d'échapper aux indiens, tantôt de se sortir d'une randonnée contrainte dans la jungle où le danger rôde.



C'est un peu un tome de transition en attendant le dénouement probable dans le dernier tome de la série.

Après Kenya et Namibia, voilà Amazonie où l'on retrouve avec plaisir notre belle et pétulante héroïne Kathy Austin. On est loin de l'Afrique mais toujours en milieu hostile dans la moiteur d'une pleine jungle encore assez mystérieuse. A noter que ce titre à éviter de s'intituler Amazonia ce qui aurait été plus cohérent avec l'ensemble mais visiblement, la place est déjà prise par une autre série.



Je suis toujours aussi fan de cette série exotique qui se place à la fin des années 40 alors que les stigmates de la Seconde Guerre Mondiale sont encore présents. Les méchants sont toujours les affreux nazis qui sévissent encore en Amérique du Sud. Là encore, les extraterrestres demeurent l'élément central de cette aventure ce qui n'est pas pour nous déplaire.



Ce premier tome démarre un peu lentement mais suffisamment pour installer progressivement tous les ingrédients. On retrouve de vieux personnages rencontrés sur Kenya mais il y a également des nouveaux qui sont plutôt bien travaillés. Namibia avait étonné en prenant une direction tout autre que celle emprunté par Kenya. Il faut voir avec ce nouveau cycle de 5 tomes prévus où tout cela va nous mener. Moi, je suis partant en tous les cas.



Le second tome confirme toutes les promesses du premier. On ne pouvait pas s'attendre à mieux. On vit l'aventure au sein de la forêt amazonienne. Il y a cependant une incursion temporelle de deux années auparavant avec des protagonistes qui se rendent dans les Carpates où une pluie de météorites aurait eu des conséquences assez néfastes sur les habitants de la région. Le mystère s'épaissit avec ce nouvel arc narratif. Pour le reste, on pourra être choqué par l'attitude assez volage du curé local mais cela donne une touche d'exotisme et surtout d'humour. Je suis encore preneur.



Note Dessin: 4/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4/5