Elle continuait sa logorrhée. Elle rappelait à l’écrivain un des professeurs d’Eton que les élèves surnommaient « le Mégalo ». Il ne s’arrêtait jamais de parler de lui. Cela était un véritable supplice pour ses classes qui étaient obligées d’écouter à longueur d’année les tirades du professeur déclamées par ses soins.