Citation de fredserre
Lorsque les inscriptions furent terminées, le maître logeur les informa qu’Aristarchus l’ancien, représentant officiel de la guilde, prendrait la parole au coucher du soleil dans le grand pré. Gabriel, qui avait hâte de revoir son mentor, demanda au maître logeur si Kavi l’ascète vivait toujours à la cascade des illuminés. Le maître logeur remonta ses petites lunettes rondes sur son nez et le regarda d’un air suspicieux.
— Pourquoi voulez-vous voir Kavi l’ascète ?
Gabriel fut dérouté par sa question. Quel mal y avait-il donc à revoir son vieux maître ?
— J’étais son apprenti. Que se passe-t-il pour que vous me posiez cette question ?
— Pardonnez ma méfiance, mais c’est que, depuis quelque temps, des choses étranges se passent dans la cité et les bergers ne sont plus autorisés à se rendre à certains endroits, dont celui-ci.
— Et pour quelles raisons ?
Le maître logeur parut de plus en plus embêté. Il ne savait manifestement pas quoi répondre. Un petit groupe d’arrivants fit son entrée pour une inscription, et le maître logeur finit par mettre un terme à leur discussion :
— La Grisaille rend tout le monde très nerveux, ici. Vous n’avez même pas idée à quel point ! Vous n’avez qu’à essayer de vous y rendre et vous comprendrez déjà !
Gabriel fut décontenancé par ce qu’il venait d’entendre. Se rendre dans la cité sans même revoir son ancien maître était impensable. Les signes de détresse du livre et à présent les interdictions au sein même de la cité ne présageaient rien de bon.
— Pourquoi voulez-vous voir Kavi l’ascète ?
Gabriel fut dérouté par sa question. Quel mal y avait-il donc à revoir son vieux maître ?
— J’étais son apprenti. Que se passe-t-il pour que vous me posiez cette question ?
— Pardonnez ma méfiance, mais c’est que, depuis quelque temps, des choses étranges se passent dans la cité et les bergers ne sont plus autorisés à se rendre à certains endroits, dont celui-ci.
— Et pour quelles raisons ?
Le maître logeur parut de plus en plus embêté. Il ne savait manifestement pas quoi répondre. Un petit groupe d’arrivants fit son entrée pour une inscription, et le maître logeur finit par mettre un terme à leur discussion :
— La Grisaille rend tout le monde très nerveux, ici. Vous n’avez même pas idée à quel point ! Vous n’avez qu’à essayer de vous y rendre et vous comprendrez déjà !
Gabriel fut décontenancé par ce qu’il venait d’entendre. Se rendre dans la cité sans même revoir son ancien maître était impensable. Les signes de détresse du livre et à présent les interdictions au sein même de la cité ne présageaient rien de bon.
