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Critiques de Boris Mirroir (49)
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Amour, passion et CX diesel, saison 2

La famille Gonzalès est toujours en ébullition ! Harold, le patriarche, souffrant d'Alzheimer, n'a toujours pas désigné celui qui héritera de sa CX diesel. À Brandon et son épouse Jessifer, tout juste jeunes parents ? À Bill qui se rêve déjà au volant, le bras sur la portière (avec Jessifer à ses côtés si celle-ci avait le courage de quitter Brandon) ? À Pamela et Bill, qui se trouve être au chômage et qui boit un peu trop ? Un couple qui, via Adoption Discount, entreprend des démarches pour adopter un Coréen. Ou encore à Jean-Mortens (à la peau noire mais pour autant personne ne semble l'avoir remarqué !) qui, avec son ami, Elton, aura bien du mal à faire comprendre à toute sa famille qu'il est homosexuel ? Ah... sacré dilemme pour Harold d'autant que les coups bas, les messes basses, les tromperies et les piques vont fuser !



Toute ressemblance avec une célèbre série (qui en est à presque son 8000ième épisode, pfff, rien que ça !) serait purement non fortuite. Des situations prenantes, des quiproquos hallucinants, des dialogues riches (en humour), une famille qui se déchire, des cœurs tiraillés... et j'en passe. Sous l'œil avisé et cinglant de Fabcaro, la famille Gonzalès se déchire, en effet, pour savoir qui héritera de la CX d'Harold. Évidemment, tous les coups sont permis. Et les pièces rapportées peuvent y apporter, cela va de soi, leur grain de sel (elles semblent d'ailleurs y prendre un certain plaisir). L'auteur aborde, non sans humour, divers thèmes tels que l'amour, l'infidélité, la maladie, l'homosexualité, l'infécondité, l'adoption, l'argent, le chômage... Les personnages, parfaitement campés, sont d'une sournoiserie et d'une bêtise abyssales... mais finalement attachants dans leur stupidité. Les dialogues sont très travaillés et les chutes un régal. L'on se délecte de ces piques cinglantes entre Jessifer et Pamela ou cette incompréhension à comprendre Jean-Mortens. Le trait zoomorphe et délicat de James et la douce palette de BenGrrr atténuent le propos faussement cruel mais intelligent des dialogues.
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Amour, passion et CX diesel, saison 1

Harold Gonzalès, le patriarche de la famille, est malade. Il souffre d'Alzheimer. Depuis que Cynthia, sa femme, l'a annoncé à ses quatre enfants et leurs conjoints, ces derniers ont compati (en apparence) et se sont inquiétés... pour savoir lequel allait hériter de la CX diesel (dotée d'une suspension hydro-pneumatique par bras transversaux superposés, au tableau de bord muni d'un compte-tours à tambour rotatif, rien que ça !). Brandon et son épouse, qui pense être enceinte de son amant, Bill (le petit frère célibataire de Brandon), Pamela et son mari, qui en auraient bien besoin vu que Tony est au chômage, et Jean-Mortens vont se livrer une bataille sans merci et vont rivaliser de coups bas pour s'attirer les faveurs d'Harold...



Amour, passion et CX diesel... c'est un peu Santa Barbara chez les beaufs ! Et quel régal que ce premier tome dans lequel l'on fait connaissance avec la fratrie Gonzalès. Pas un pour rattraper l'autre, que ce soit Brandon, tenancier d'une boite de nuit, le Chunga Night, Tony, le soi-disant concepteur de projets, ou encore Jessifer qui n'hésite pas à tromper son mari avec ses beaux-frères. Composé de strips de 6 cases, le tout formant une histoire cohérente, cet album fait mouche de par ses répliques cinglantes ou vachardes, ses dialogues savoureux, ses chutes jouissives, ses personnages attachants dans leur beauferie et leur bêtise... Graphiquement, le décor se veut un brin kitsh, les personnages zoomorphes sont bien vus. Fabcaro, James et BenGrrr nous offrent une sitcom hilarante et intelligemment menée !

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Amour, Passion et CX diesel, saison 3

Chez les Gonzalès, la tension est toujours palpable entre les 4 enfants d'Harold à propos de la CX diesel tant convoitée... En dehors de ça, ça se chamaille à tout va, ça se lance des piques, ça fait des coups bas... Jessifer doute de sa relation adultérine avec son beau-frère et veut y mettre un point final. Mais visiblement, Bill et son sex-appeal savent être dissuasifs... Pamela se trouve laide, terne, et grasse. Elle négocie auprès de son mari pour une éventuelle opération chirurgicale. Ce dernier se laisse convaincre d'autant qu'il en a trouvé un super ! Un qui fait travaux de plomberie, d'électricité, de jardinage et de chirurgie... Jean-Mortens, lui, est déprimé depuis le départ d'Elton et cherche la meilleure façon pour se suicider... Quant à Jessifer et Brandon, ils décident de prendre une baby-sitter pour leur fils. Une belle étudiante en philosophie qui fera tourner la tête des 3 frères...



Dernier opus vaudevillesque et jubilatoire des aventures de la famille Gonzalès... Et c'est non sans un certain regret que l'on quitte tous ces personnages totalement atypiques ! Fabcaro, BenGrrr et James s'en donnent de nouveau à cœur joie dans ce troisième volet. Toujours à raison de 6 cases par saynètes, avec une chute vraiment bien trouvée à chaque fois, ce soap opera Santa Barbaresque nous plonge au cœur des mesquineries, des répliques vachardes, des prouesses intellectuelles, des jalousies ordinaires, des incompréhensions délirantes de cette famille hors norme, composée de beaufs attachants. Sans jamais être méchant, Fabcaro se montre plutôt tendre envers eux. La finesse du trait de James et la délicate palette de couleurs de BenGrrr adoucissent la teneur des propos.

Jouissive, pertinente, finement travaillée, une série incontournable !
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Amour, passion et CX diesel, saison 1

Serait-on plus sur des pneus Michelin Alpin ou des Hancook winter 205/55 R16 cet hiver ?

Y aura-t-il de la dinde (et je parle du gallinacé) à Noël ?

Mais surtout, surtout, qui héritera, au décès du patriarche souffreteux, de la CX diesel si congrûment convoitée ?

Autant de questions auxquelles ne répondront pas Fabcaro et sa bande.

Au temps pour moi, il semblerait qu'il y ait réflexionite aigüe sur la CX.



Un sujet à la con.

Et j'ai rien contre Citroën. La preuve, je roule en Fuego.

Un rythme nerveux, s'appuyant sur des strips de 6 cases, sur l'air des feux de la moue, épisode 35268 - pour donner une idée du "high level" aux puristes -, d'amour gloire et poire belle-Hélène, de Dynastie, c'est vous qui voyez en fonction de votre sensibilité romantique et capillaire, le tout se veut burlesque, absurde, facétieux...c'est vous qui voyez en fonction de votre sensibilité humoristique.



Très bon moment.

N'est-il point, Jessifer?
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Dieu point zéro

Imaginez un peu le travail, à l’heure actuelle, pour un Créateur connecté ! Il faut négocier, tout négocier : avec son ennemi juré des Enfers, avec les autres religions, avec sa propre femme qui débarque sans crier gare en Femen ! Alors que lui ne rêve que d’une chose : faire sa sieste.



Evidemment, tout est à prendre avec humour et j’ai souri à chaque page de cette BD ! Cet album est paru chez Fluide Glacial, je le précise car je sais qu’il y a des réfractaires à l’humour noir.
Lien : https://promenadesculturelle..
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Backstage, tome 1 : Pierre qui roule

Backstage est une vie imaginaire des Rolling Stones d'avant leur reconnaissance racontée sous forme de gags en demi page, mêlant anecdotes réelles, références, histoires d'ados et humour décalé.

Mick rencontre Keith et il se mettent à rêver de gloire.

Sex and Rock'n Roll, non, il manque quelque chose... Sex, pudding & Rock"Roll ?

C'est drôle, les gags collent bien à ce qu'on imagine d'un groupe qui essaie de se former, musiciens moyens, parents indifférents ou au contraire, admiratifs de leur petit rejeton, ados incompris, libido de lycéens...

Bande dessinée vraiment sympathique.
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Amour, Passion et CX diesel, saison 3

Dernier volet de cette histoire de famille qui se déchire pour hériter de la CX du grand père. Loufoque, déjanté, avec des personnages dans l'ambiance des série Dallas, Dynastie mais en bien plus stupides, ça m'a valu quelques bonnes crises de rires.
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Amour, passion et CX diesel, saison 2

C'est l'ambiance de Dallas, Dynastie, et autres série américaine au milieu familial qui se déchire pour un héritage. Ici, l'héritage en question, c'est la CX du grand père Harold. Les membres de la famille manigancent sous fond de tromperie d'adultère, d'hypocrisie et surtout de stupidité, c'est en fait un ramassis de losers pathétiques. L'histoire est développée en saynètes d'une demi page, c'est drôle, cynique, décapant et loufoque. Un bonne rigolade.
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Notre seul ami commun, tome 3 : Celui du co..

Le Crabe, c’était clair, le Cafard aussi, leur sens figuré raconte ce qu’on y trouve dans les tomes 1 et 2. Mais pourquoi le Cochon, ce troisième tome surprend encore plus que les deux premiers, et est totalement bouleversant. Boris va tenter de remonter la pente, sortir de l’hôpital psychiatrique, reprendre ses études… Boris Mirroir nous fait voyager dans ses doutes et ses angoisses avec un dessin cartoonesque, en peu de mots et peu de dessins, avec des vignettes d’illustrations comme des instantanés photographiques, s’attardant sur des détails qui semblent sans importance mais qui ponctuent, et qui donne un rythme lent et cotonneux à l’histoire. Cette petite trilogie qui ne paye pas de mine au premier abord est une œuvre qui dégage des émotions lourdes et fortes, sur le destin, sur la vie, quelque chose d’universel, Boris Mirroir a su mettre des images sur l’ordinaire, et le rendre intense et fort. La fin est vertigineuse et bouleversante. Ça m'a fait penser au Combat Ordinaire de Manu Larcenet, mais avec une économie de moyens. Alors, pourquoi le cochon, si vous voulez savoir, lisez cette trilogie. Pour moi, cette lecture a été une très belle découverte.
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Notre seul ami commun, tome 2 : Celui du ca..

Deuxième volet, on retrouve notre geek immature après le décès de sa mère, c’est le temps de la dépression, on le voit sombrer. En parallèle on découvre un peu plus de l’histoire du cochon, après un accident du travail, il va tomber amoureux de l’infirmière de l'hôpital. Graphisme toujours cartoonesque, pour un propos dur et sombre, le contraste est fort, et nous malmène et nous bouscule. Au bout du deuxième tome, je suis encore plus emballé.
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Notre seul ami commun, tome 1 : Celui du cr..

C'est la première fois que je lis du Boris Mirroir. Comme quoi, il y a toujours des auteurs qui restent à découvrir. J'avoue que je m'attendais à tout autre chose. Le style fait résolument dans le comics avec un dessin totalement épuré. Il y a également une simplicité apparente dans les situations et un rythme assez lent comme pour installer les personnages dans leur quotidien.



Au début, j'ai été assez circonspect puis au fur et à mesure de ma lecture, j'ai été gagné par l'émotion du dessin et du récit. Il faut dire que le crabe peut nous dévorer assez facilement. Perdre des êtres chers est une dure épreuve. Tomber en dépression suite à cela en est une autre.



J'avoue avoir été bluffé par la fin de ce récit où l'on découvre le rôle du cochon qui était apparu en filigrane lors de petit intermèdes entre les chapitres du récit de nos trois protagonistes principaux qui vont se lier d'amitié. Il y a un humour parfois trop grinçant et quelques redondances. La sobriété sera de mise. Au final, c'est tout de même une bonne découverte.
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Zzzwük. Celui qui ressemble à un lapin

Une vie de lapin. Un drôle de lapin, certes les grandes oreilles sont là mais le paysage est étrange et les personnages croisés le sont tout autant.



Entre cartoon et manga, on suit les tribulations de créatures lapinesques. C’est parfois drôle, souvent cruel, ironique et caustique. Une suite de petits dessins, autant de scènes qui se succèdent à vitesse grand V dans une narration parfois maîtrisée, c’est trépidant, exalté… pas toujours évident à saisir par ailleurs !



Le genre de petit livre dans lequel on pioche de temps en temps pour un moment délirant… et qui remplira sa fonction.

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Amour, passion et CX diesel, saison 1

Alors Amour, Passion et CX diesel.. ou l'album jubilatoire... Amour, Passion et CX diesel ( à chanter comme un générique.. je sais que vous connaissez...)



Où le sitcom à la française ( avec les enjeux français.. la cx) et en bd...

et c'est juste... énorme, décapant, cynique et méchant... et puis drôle aussi.

Mais qu'est ce qu'ils sont méchants, ou juste bêtes c'est possible aussi...

les coups bas, les vacheries, y sont à côté de la plaque..

finalement le moins pire je crois bien que c'est le père... et vu qu'il a Alzheimer c'est pas peu dire...

qu'est que ce genre d'humour me fait rire...

Du strip de 6 cases...

qu'est ce qu'ils s'envoient dans la face...

Nan en faite je crois qu'ils sont juste bêtes... et j'ai un sourire jusqu'aux oreilles.

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Zzzwük. Celui qui ressemble à un lapin

[livre lu dans le cadre le Masse critique]



Les aventures d'un lapin drôle et lubrique façon cartoon.

J'ai préféré le lire en plusieurs fois, picorer dans les petites histoires sans textes qui composent cet album de bd.

J'ai en fait préféré le dessin plus que l'histoire mais ce fut une découverte sympathique.

Mention spéciale pour la galerie d'auteurs qui revisitent "celui qui ressemble à un lapin".
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Zzzwük. Celui qui ressemble à un lapin

Dans ce livre à ne pas mettre entre toutes les mains et reçu dans le cadre de Masse critique Babelio que je remercie ici, nous sommes invités à suivre les mésaventures d'une espèce de lapin un tantinet obsédé et très intéressé par ce qu'il a entre les jambes. Il subit bien souvent les réactions de l'objet de ses désirs et telles les histoire du Coyote face à Bip Bip du célèbre dessin animé il passe de Charybde en Scylla.

Dans des teintes jaunes orangées principalement, les planches ne m'ont pas personnellement accrochées au niveau du dessin. Cependant le scénario est inventif et les situations sont souvent humoristique. On admire aussi la détermination et la persévérance de notre "lapin"

Le format est agréable et la mise en page aussi. On a des petits carrés en bas de chaque page pour suivre le nombre de page correspondant à une histoire

Il y a des recherches originales et c'est inventif (comme le manga en noir et blanc qui fait repartir la lecture à l'envers ou encore les pages à découper - il ne faut pas le faire... lol - qui permet de changer les vêtements, comme dans les magazines pour la jeunesse).

Un cadeau clin d'oeil pour un adolescent en pleine puberté ou une farce égrillarde à un bon pôte.
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Notre seul ami commun, tome 1 : Celui du cr..

Le graphisme m’a fait envisager une histoire de Geek immature, sur le ton humoristique, burlesque. Alors, oui pour le Geek immature, mais le propos est beaucoup plus lourd, l’auteur confronte son insouciance, sa lâcheté, sa procrastination à la maladie, au refus d’affronter la mort à venir, celle de sa mère. Le graphisme cartoonesque avec ces animaux anthropomorphes vient en porte-à-faux pour nous perturber, mais c’est pour mieux nous surprendre. Une histoire vient en parallèle intercaler les chapitres, le personnage est un cochon, cette histoire raconte la vie ordinaire et bien rangée d’un cochon garagiste. On ne connaîtra le but de cet intermède qu’à la fin du troisième tome. C’est une histoire forte et poignante.
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Rob, tome 1 : Bêta-test

Des gags en 1/2 page qui mettent en scène Clunch, un geek, flemmard, exploité au travail, célibataire... hum, non, geek, célibataire et flemmard ne relève pas du pléonasme...



Il se paie alors un robot à tout faire. Et celui-ci se met à discuter, négocier, etc. dans le respect des règles de la robotique, dûment rappelés.



Il y a du drôle et du très convenu. Le plus drôle arrive quand le robot se met à faire du syndicalisme en persuadant les robots ménagers de se révolter. D'ailleurs, tous ces robots ont un petit nom... bien sûr.



Je suis assez partagé. Le bon est vraiment bon. Le moins bon est vraiment nul. Un peu plus de sélection dans le choix des gags aurait été bienvenu.
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Zzzwük. Celui qui ressemble à un lapin

Ce petit personnage qui ressemble à un lapin mais qui n'en est pas un a deux passions dans la vie : la reproduction et la nourriture. Ces deux péchés mignons l'embarquent dans des aventures rocambolesques qui oscillent entre absurde, violence et comique de situation. Le tout, sans dialogue, et ça marche.

Il m'a fallu passer les premières pages pour m'attacher à ce petit personnage et pour rire de ses déconvenues. Il y a du loufoque, du trash et de l'absurde dans cet album. Le coup de crayon participe à cet univers humoristique. il y a beaucoup d'originalité et d'inventivité. J''ai beaucoup aimé les pages dans lesquelles le dessinateur décline le personnage : version Picasso,version canard, version champignon,....

Merci aux éditions Expé éditions et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération masse critique.
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Amour, passion et CX diesel, saison 1

Voici le premier tome d'une série en 3 volumes. Je me suis laissé séduire par le titre et les promesses que je voyais dedans, et surtout par l'auteur Fabcaro. Tout heureux donc de me lancer dans cette lecture à fort potentiel divertissant, j'en suis ressorti souriant mais légèrement déçu. C'est bien fait, bien écrit, l'enchainement de mini-scènes permet de dresser petit à petit le tableau et le profil de chaque personnage, mais crée également un effet de lassitude. Au final il manque surtout de la folie pour exciter mes neurones de la poilade dans cette parodie de soap opéra un peu trop convenue à mon goût.
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Rob, tome 1 : Bêta-test

Rob est une bd humoristique tout en strips et gags qui va se focaliser sur la relation amicale entre un pauvre humain un peu naze sur les bords et un robot domestique doté d'une intelligence supérieure.

Voilà, pour le cadre. Ajoutons que Rob est le nom du robot, donné par son maître humain.

Autant le dire de suite, mis à part quelques jeux de mots sympas et autre scènes cocasses, Rob est un titre qui ne parvient jamais à décoller. Les batteries tombent souvent à plat, la faute à une absence quasi-totale de chutes efficaces... Peut-être que mon humour est devenu exigeant , ah ah , mais j'ai vraiment trouvé cette bd faiblarde en gag malgré un petit capital sympathie bien que le robot Rob soit une véritable tête à claque.

Notons quand un même une bonne idée qui aurait eu le mérite d'être prolongée, le récit final avec une bonne mise en abîme de la bd. Sympa mais entaché par une chute qui résume très bien le contenu de cette bd tiédasse : Mais où est le gag ?
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