Deuxième volet, on retrouve notre geek immature après le décès de sa mère, c'est le temps de la dépression, on le voit sombrer. En parallèle on découvre un peu plus de l'histoire du cochon, après un accident du travail, il va tomber amoureux de l'infirmière de l'hôpital. Graphisme toujours cartoonesque, pour un propos dur et sombre, le contraste est fort, et nous malmène et nous bouscule. Au bout du deuxième tome, je suis encore plus emballé.
Commenter  J’apprécie         60
Même si le ton à tendance autobiographique est nettement sombre, voir même triste, c'est tout de même agréable de retrouver le travail de Boris Mirroir. Un style à la fois cartoony, expérimental et vraiment très intéressant qui s'adapte très bien à toutes les ambiances.
Lire la critique sur le site : Sceneario