Les informations ne cessèrent de fluctuer au cours de la matinée. On parla d'abord de survivants, d'un amerrissage "en douceur". Puis le soleil se leva, et la journée commença - une journée comme tant d'autres en septembre, avec un ciel éblouissant et un vent tiède - , et il fallut se rendre à la douloureuse évidence : il n'y aurait pas beaucoup de survivants, peut-être aucun.