La malédiction de la mortalité. Vous passez la première partie de votre vie à apprendre, à devenir plus fort, plus capable. Et puis, même si vous n'y êtes pour rien, votre corps commence à vous manquer. Vous régressez, les membres solides s'affaiblissent, les sens aiguisés s'émoussent, les constitutions robustes se détériorent. La beauté se fane. Les organes vous lâchent. Vous vous rappelez ce que vous étiez dans votre jeunesse et vous vous demandez où est passée cette personne. Alors que votre sagesse et votre expérience sont à leur apogée, votre corps, ce traître, devient une prison. (p.145)