Je croyais fermement en ces idéaux, mais ma seule motivation était l'argent, la sécurité financière.
— Tu es comme ma propre fille. Tu le sais. Je te le dis tout le temps. La seule chose pire que de perdre Braco, ce serait de te perdre aussi.
— Mais…
— Il n’y a pas de mais. Tu te lèves. Tu te laves le visage et tu vas voir cet homme. Tu lui dis ce que tu ressens, d’accord ? Tu lui dis que tu l’aimes et que tu veux être avec lui. Sois courageuse, Janja. Il faut du courage dans cette vie, car si tu n’en as pas, la vie et les circonstances te réduiront en poussière.
Sois courageuse, Janja .
Mes poumons brûlaient quand je respirais et ma gorge était bloquée par les larmes. J’avais terriblement mal aux yeux, pourtant les larmes continuaient à couler. Je ne savais pas du tout d’où elles venaient.
Je secouai la tête.
— J’ai si peur.
Elle me caressa les cheveux.
— Nous avons tous peur. Chaque jour que nous sommes ici, nous ne savons pas ce qui va se passer. Mais la vie est faite pour être vécue. Penses-tu que si j’avais le choix, je retournerais dans le temps et j’éviterais d’avoir un fils, juste pour éviter la douleur de l’avoir perdu ? Non. Jamais . J’ai porté ce bébé et je l’ai élevé et je l’ai tenu dans mes bras et je l’ai embrassé et je l’ai aimé. Et je me souviens comme il était merveilleux. Oui, je pense à l’homme incroyable qu’il serait devenu, mais je suis reconnaissante de chaque jour qu’il a passé sur cette terre. Je ne le regretterai jamais. Et tu ne le devrais pas non plus.
Je me frottai les yeux, entendant la vérité dans ces mots, et soudain un calme inexplicable descendit sur moi. La douleur et le chagrin étaient toujours là, mais il y avait aussi du réconfort. Il y avait de l’amour. L’amour que je ressentais pour Helena. La gratitude que j’éprouvais de l’avoir dans ma vie.
Et elle avait raison. Si j’avais le choix, je serais retournée en arrière et j’aurais tout revécu. J’étais très reconnaissante du temps que j’avais passé avec Brock. Des souvenirs. De ma relation avec ses parents incroyables. Tout. Pas de regrets.
“ Je veux un nouveau jeu ” – posté sur le blog de Geekette
Remarque : le texte suivant doit être chanté sur l’air de ‘I Want a New Drug’ de Huey Lewis and the News
J’veux un nouveau jeu. Un jeu qui m’ennuie pas.
Un jeu qui m’énerve pas ni me traite comme un objet !
J’veux un nouveau jeu... qui ne rend pas malade.
Qui file des sensations.
Qui semble super réel.
Qui me fait me sentir...
Bref, vous avez compris… et maintenant vous avez la chanson de Huey Lewis and the News dans la tête. Joyeuse journée nostalgie à vous aussi !
Alors, quelqu’un a-t-il entendu parler de nouveaux jeux à l’horizon ?
J’en ai jusque là des FPS, particulièrement ceux qui sont très orientés pour les hommes ou bien ceux qui ont des filles en mini shorts, et je pense devenir folle si je dois farmer plus de minerai dans Skyrim. J’ai romancé ma route à travers Dragon Age et j’ai bricolé partout dans Azeroth. Qu’y a-t-il d’autre ?
Je veux un nouveau jeu !
— Je ne suis pas un produit. Je suis une personne. Tu as acheté une nuit avec moi et c’est tout. Nous avons eu notre nuit ensemble. Ce n’est pas de ma faute si je… reste intacte.
— Je ne suis pas d’accord. J’ai acheté ta virginité. Désormais, elle m’appartient. Elle ne peut pas être revendue.
— Jenna.
— William, répondis-je.
— Dis-moi que tu ne partiras plus. Sauf si tu me prends avec toi.
— Je n’irai nulle part sans toi si je dois me sentir aussi mal qu’au cours de ces dernières semaines.
Il serra ses bras plus fort autour de moi.
— Essayons de ne plus être aussi stupides, dit-il. Nous sommes faits pour être ensemble.
— Allez, viens, nous allons tester encore une fois tes capacités à supporter la foule, au moins pendant un petit moment. Nous devons nous rendre à la fête du mariage. Et il faut que je montre mon bel Américain.
Il rit.
L’excellence suprême consiste à briser la résistance de l’ennemi sans avoir à se battre.
Nous n’allions pas nous battre. J’allais commencer ceci très calmement, sans l’intimider. Et puis je lui ferais entendre raison. Emilia était une femme rationnelle, parfois même trop rationnelle. Elle avait peur de laisser ses émotions la contrôler. Cette peur nous avait presque empêchés d’entamer notre relation. J’allais donc traiter le problème comme deux seigneurs de guerre assis à la table pour négocier calmement, pour diviser le butin.
Je me laissai glisser le long du mur à côté de la porte, me roulant en boule, le visage contre mes genoux. Je pensais qu’il ne me restait plus de larmes à pleurer. J’avais tort.
Même si j’avais été prête à tout jeter dans ma panique et ma peur plus tôt dans la journée, je n’étais pas prête à perdre ceci.
Mais prête ou pas, cela se produisait. Et il n’y avait rien de plus que je puisse faire.
Je l’avais goûté. Et il était, en fait, délicieux. Mais il avait également un côté sombre que je ne savais pas comment décrire. Comme la poudre de cacao amère recouvrant l’extérieur d’une riche truffe en chocolat. Parfois, elle apportait une nuance à sa saveur. Et parfois, elle menaçait de ruiner un met autrement délicieux.
Si ce dernier mois sans toi m'a servi à quelque chose, c'est à me montrer ce que je voulais.
Je veux, j'ai besoin de toi dans ma vie.
Si je le dois, j'attendrais aussi longtemps qu'il le faudra pour l'obtenir..
Pendant cinq ans nous avons travaillé comme des cons. Des centaines, des milliers d’heures de notre temps, d’énergie, de réflexion. Tu jettes tout ça à la poubelle pour quoi ? Un nouveau principe ?