Très vite, il reprend ses habitudes comme celle de laisser traîner ses affaires, de se lever toujours de mauvaise humeur le matin, et très tard, quand le réveil ne sonne pas. Ce qui énerve son père, et Simon préfère. Il ne le prend plus pour un ado perturbé, dingue peut-être, mais pour un ado insupportable. C'est plus facile à vivre. (p.170)