« - J’ai un aveu à te faire, dit-elle, alors que j’étais appuyé sur mon oreiller, une main derrière la tête. Je ne dors pas très bien quand tu n’es pas près de moi.
- J’ai un aveu à te faire. Je serre mon oreiller contre moi toutes les nuits en pensant à toi.
- J’ai un aveu à te faire. Ton sourire me manque.
- J’ai un aveu à te faire...(elle inspira profondément et expira lentement pour ponctuer chaque mot qui sortait de ses lèvres.) Tu...me...manques.
- Tu me manques encore plus.
- Impossible.
- Absolument possible. »