Il la serrait si fort qu’elle avait du mal à respirer. Elle était consciente qu’il avait besoin de déverser ce trop-plein d’émotions, de stress et de fatigue. Malgré l’inconfort, elle le laissa faire. Lorsque, enfin, il desserra son étreinte, elle emplit d’air ses poumons, et sa cage thoracique reprit un mouvement normal.