L'expérience du mandala se présente ainsi comme une espèce de réminiscence : les deux plans, central et primaire, peuvent être considérés comme les étapes d'un cheminement au cours duquel le moi non-moi est devenu le moi. Cette expérience corporelle nous place, en quelque sorte, à l'origine des phénomènes, à cet instant de l'apparition de la subjectivité et du monde.