Un philosophe qui avait passé sa vie en Allemagne, aux confins de la Forêt-Noire, dans une ville traversée par des fleuves, avec des ponts de pierre et des bâtiments aux toits pointus, qui s’était adossé à des arbres centenaires, qui avait caressé des velours anciens et bu des vins millésimés dans des coupes d’argent noirci, avait déclaré que l’homme était le temps incarné... (Barış Bıçakçı)