Lorsque, en disgrâce aux yeux du Sort et des humains
Je me prends à pleurer mon exil solitaire
Harcelant le ciel sourd de gémissements vains
Maudissant mon destin quand je me considère…
Ton amour rappelé m’apporte tels trésors
Que pour celui des rois ne veux changer mon sort.