Citations de Cara Lynn Shultz (19)
- Et après avoir survécu à tout ça, tu tiens vraiment à sombrer à cause de moi ?
- Si je ne te voyais plus, c’est là que je sombrerais.
- Je ne suis pas un tel cadeau.
- Tu es ce qui m’est arrivé de mieux depuis longtemps. Tu veux me priver de ce bonheur ?
Ashley sortit de sa sacoche un petit échantillon couvert de paillettes et, sans prévenir, m’inonda d’un parfum sucré à vomir.
– Ashley ! On dirait des pets de licorne !
- Tu es adorable, Emma.
Moi, adorable ? Avais-je bien entendu ? Il roula sur le dos en riant et se mit à contempler la ciel du crépuscule, les mains croisées sous sa nuque. Sans me regarder, il précisa :
- Surtout quand tu t'attaques aux gorilles alors que tu fais un mètre douze.
- Un mètre soixante-sept ! protestai-je bêtement.
- Dans tes rêves ! Ou seulement si tu montes sur les épaules d'Ashley !
- Brendan ? ça veut dire qu'on va vivre heureux pour l'éternité ?
Il m'a souri en posant un baiser sur mon front.
- Pour l'éternité.Enfin, aussi heureux qu'on peut l'être tant qu'on est encore au lycée.
Et il m'a de nouveau embrassé.
Il éclata de rire et promit:
- Tu ne la verras même pas. Tu seras en cabine avec moi comme une fille dans une vidéo de Jay-Z.
- Il n'est pas question que je vienne en bikini et manteau de fourrure.
- Non? Je suis déçu. Alors un petit short très court?
- C'est un bal déguisé?
- Non.
- On est bien au mois de novembre?
- Oui, et alors? Je te réchaufferai, moi.
Car tout contrat passé avec le diable comporte des clauses en petits caractères.
Emma, tu ne te compares tout de même pas à elles ? On ne compare pas un diamant avec... je ne sais pas, une pelure de patate.
Mon attitude était vraiment du plus haut comique, je ne voulais même pas savoir quelle tête je faisais, plantée là devant mon casier moisi de gremlin !
_ Mon précieuuuux.., ai-je sifflé d'une voix étranglée, à la manière de Gollum.
C'est parce que les filles sont diaboliques. Les lycéennes sont des démons, sincèrement.
- tu essaies encore une fois de faire du mal a une fille, tu penses seulement à Emma, et tu est mort
-ah? ça aussi, c'est une promesse ?
- c'est une garantie
ses poings se crispaient si fort que je voyais saillir ses jointures. En face de lui, Anthony ressemblait à un petit garçon qui fait un caprice. Avec un grand geste furieux, il a crié :
- ce n'est pas terminé, mon frère ! Tu vas le regretter !
Lorsque, en disgrâce aux yeux du Sort et des humains
Je me prends à pleurer mon exil solitaire
Harcelant le ciel sourd de gémissements vains
Maudissant mon destin quand je me considère…
Ton amour rappelé m’apporte tels trésors
Que pour celui des rois ne veux changer mon sort.
J'imagine que c'est ça l'amour avec un grand A : ça vous rend débile.
- Pas de grand trip de culpabilité, je te prie. Ce n'est pas ta faute. Il n'est pas question de la malédiction des Salinger.
Rien à faire, il fuyait mon regard. Ses yeux verts restaient fixés sur mes paumes, il était livide et semblait complètement désespéré.
- Je suis comme une bombe à retardement...
- Et pas de mélo non plus. Si un pigeon me fait sur la tête, tu prendras ça sur toi aussi?
- Ça ne te tuerait pas.
- Ce n'est pas sûr. Tu as regardé les pigeons que vous avez ici?
L’air déterminé, Ashley secoua la tête, sortit de sa sacoche un petit échantillon couvert de paillettes et, sans prévenir, m’inonda d’un parfum sucré à vomir.
— Ashley ! On dirait des pets de licorne !
Il me regardait attentivement, un sourire amusé aux lèvres, car il venait de comprendre que je l’observais.
- Qu'est ce qu'il y a ? m'a-t-il demandé innocemment en soulevant un livre avec un effort exagéré, comme s'il voulait me montrer ses muscles.
- Est ce que c'est mal d'avoir envie de t'emmener dans la section "livres étrangers" pour faire des tas de trucs que la morale réprouve ? lui ai-je demandé en retour.
- Tu mens, elle t'a envoyé te faire voir ! Mais raconte-moi une autre histoire Père castor, j'adore les contes de fées !
Les émotions me submergent comme un kaléidoscope..
Elle avait donc suivi un cours sur Brendan ? Je pouvais copier ses notes ? Il y avait une session de rattrapage ?
Pour être tout à fait franche, j'ai cru que tu allais me demander de sortir avec toi et...je suis en vacances. Je veux dire, en vacances des garçons.