Une fois le processus achevé, il ouvrit ses yeux de monstre sur le jour nouveau qui brillait, lavé par l'averse et le vent. Le ciel était étincelant, le fjord scintillait en retour, les oiseaux accueillaient la lumière avec joie et innocence. Avant de rendre son corps à son hôte, il murmura d'une voix qui semblait n'être que le roulement du tonnerre, le grondement de la terre :
- Bonjour le monde. Tremblez de peur, car Zalim est de retour...