Je préfère me battre contre un ennemi réel que contre un danger imaginaire.
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L’Avaleur de Mondes ne connaîtrait jamais l’amour, la vie, la joie, ni même la peine, indispensable pour comprendre le bonheur.
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Il essayait d’imaginer ce que pouvait être une vie sans émotions, sans amour, sans passion … À quoi cela servait-il d’exister si l’on ne ressentait rien ?
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Surtout il voulait être aimé pour ce qu’il était lui. Au moins, un petit peu …
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Il l’aimait parce qu’elle était à la fois complétement différente de lui et pourtant étrangement similaire.
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Cher Ézéchiel, les vrais héros se cachent dans le courage, la ténacité et la générosité des gens ordinaires.
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