J’ai consacré des heures à étudier le jeu subtil des émotions sur ses traits. Elles étaient comme la pluie qui balaie le lac depuis l’autre rive, apparemment tranquille jusqu’à ce qu’elle touche terre et vienne battre les vitres du chalet. J’avais mémorisé les reflets de ses polissonneries, le tonnerre lointain de sa jalousie et les moutons de son extase.