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Citations de Carley Fortune (30)


Je me serais réjouie de n'importe quelle compagnie cet été là, mais tomber sur Sam, c'était comme gagner à la loterie de l'amitié.
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Il avait cette façon désinvolte d’être lui-même, comme s’il n’essayait pas de plaire. J’aurais aimé être comme ça.
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Carley Fortune
Je souhaitais que la relation principale de l’histoire se déroule sur plusieurs années et qu’elle évoque les angoisses et les bouleversements émotionnels de l’adolescence en même temps que le poids des responsabilités que nous impose l’âge adulte. Je voulais explorer le sentiment incroyable que vivent celles et ceux qui trouvent l’âme sœur, qui rencontrent cet.te ami.e qui les comprend comme personne, qui leur donne le sentiment d’exister, d’être en sécurité et d’étinceler.
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Philippe était mon amoureux jusqu'à ce que je le trouve penché sur la chapelière dont la boutique jouxtait notre tout premier café. J'aurais dû avoir la puce à l'oreille quand il a commencé à porter un feutre mou. Morale de l'histoire: sortir avec le patron est une mauvaise idée.
Nous avons rompu il y a deux ans, et depuis j'évite les hommes. En fait non. J'ai réintroduit le sexe dans l'équation après cinq très longs mois. Mais les relations, ça ne m'intéresse plus. Tout ce temps, ces compromis et cette énergie gaspillée pour quoi? Pour des chaussettes sales qui traînent partout et pour constater un jour que les choses ne marchent pas. Sans façon.
(P. 60)
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Or à force de dévorer des histoires d’épouvante, je devins fascinée par l’écriture qui lui donnait forme, c’est-à-dire la manière par laquelle les auteurs rendaient crédibles des situations impossibles. J’aimais que chaque histoire soit à la fois prévisible et singulière, réconfortante et inattendue.
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Ce que j'admire chez Will comme chez Fern, c'est qu'ils aiment fort. L'un et l'autre font de leur mieux pour ouvrir leur cœur, malgré le risque de rejet, de jugement et d'échec, et ils trébuchent en cours de route. Vers la fin du roman, Fern donne à Will la possibilité d'expliquer ses agissements.
Elle décide de lui tendre la main. C'est, à mes yeux, l'un des gestes les plus courageux et difficiles à faire durant les premiers stades de toute relation. C'est aussi ce qui rend Will et Fern plus forts. On fait tous des erreurs. On vit des traumatismes et des deuils, et bien sûr de mauvaises journées.
Il nous est arrivé à tous de nous casser la figure. Et les plus chanceux d'entre nous, en relevant la tête, ont trouvé la main tendue d'une âme précieuse.
(P. 388)
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— Je ne sais pas comment ma mère a pu s'en sortir toute seule.
L'arrière-pensée, car c'en est une, s'est matérialisée malgré moi.
— Les mères célibataires sont des guerrières, dit Will. La tienne semblait savoir ce qu'elle voulait.
-— Cétait une force de la nature.
(P. 128)
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Je suis amusante ! Seulement, je n’ai pas envie de parler de ce qui m’empêche de dormir la nuit. Je préfère taire mes doutes, ne pas partager mes craintes au sujet de ma carrière, mon désir secret d’écrire, ma peur de ne pas y arriver, de ne pas avoir le courage de me lancer, ou mon sentiment de solitude par moment.
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Ce qu'il y a de bien avec les rencontres sans lendemain, c'est qu'on peut dire n'importe quoi sur soi sans que ça porte à conséquence.
Je secouai la tête.
— Il y a toujours des conséquences.
Je l'avais appris à dix-sept ans.
(P. 83)
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Certaines personnes ont cette chance. Elles rencontrent leur meilleur ami, l'amour de leur vie, et ont la sagesse de ne pas le laisser filer.
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Avec le temps, j'avais constaté que Charlie arborait toujours un sourire et rarement une chemise.
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J’ai consacré des heures à étudier le jeu subtil des émotions sur ses traits. Elles étaient comme la pluie qui balaie le lac depuis l’autre rive, apparemment tranquille jusqu’à ce qu’elle touche terre et vienne battre les vitres du chalet. J’avais mémorisé les reflets de ses polissonneries, le tonnerre lointain de sa jalousie et les moutons de son extase.
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- Tu peux passer la nuit chez moi, sur moi, même sous moi, dit mon interlocuteur d'une voix traînante. Comme tu veux, Perse.
- Charlie?
-Le seul et unique, répondit-il. Pas trop déçue?
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Will lit des passages à voix haute:
- Les berceuses préférées d'Owen sont Edelweiss et
What a Wonderful World. (Il lève les yeux vers moi.) On ne rit pas.
—Je suis sûre que les médecins lui ont transplanté une nouvelle personnalité après l'accouchement.
Il poursuit sa lecture en silence, pendant que des rides de plus en plus prononcées strient son front.
- Devenir parent peut rendre n'importe qui cinglé.
(P. 127)
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Or à force de dévorer des histoires d'épouvante, je devins fascinée par l'écriture qui lui donnait forme, c'est-à-dire la manière par laquelle les auteurs rendaient crédibles des situations impossibles.
J'aimais que chaque histoire soit à la fois prévisible et singulière, réconfortante et inattendue.
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𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒓𝒆́𝒄𝒊𝒆𝒖𝒙, 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒗𝒐𝒏𝒔, 𝒕𝒐𝒊 𝒆𝒕 𝒎𝒐𝒊. 𝑻’𝒆𝒔 𝒍𝒂 𝒔𝒆𝒖𝒍𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒒𝒖𝒊 𝒋’𝒂𝒊 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒆 𝒅’𝒆̂𝒕𝒓𝒆, 𝒍𝒂 𝒔𝒆𝒖𝒍𝒆 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒒𝒖𝒊 𝒋’𝒂𝒊 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒍𝒆𝒓. 𝑬𝒕 𝒍𝒂 𝒔𝒆𝒖𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋’𝒂𝒊 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒆 𝒅’𝒆𝒎𝒃𝒓𝒂𝒔𝒔𝒆𝒓.
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Some people are lucky like that. They meet their best friend, the love of their life, and are wise enough to never let go.
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-Je t’aimais murmura t’il
-Je sais
-Et tu m’a brisé le cœur
-Ça aussi je le sais
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- Ne me regarde pas comme ça.
- Comment ça ?
- Comme si tu t’intéressais à moi.
- Eh si c’est le cas ?
- Eh bien, je ne te le permets pas.
- Pourquoi ?
- Parce que tu m’as laissée t’attendre pour rien sur ce quai il y a neuf ans.
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Sur l'arrière de ma culotte, le mot LUNDI écrit en grosses lettres est surmonté d'une image de Madame Chipie. En plus, on est mercredi.
(P. 124)
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