je ne dirai pas leurs noms, seuls les connaissent ceux qui savent écouter le silence,
je ne raconterai pas leurs exploits, seules les égrennent les étoiles de poussière des sentiers,
je ne rappellerai pas leurs souffrances, elles sont hurlées par l'ouragan des oiseaux,
je ne parlerai pas de leurs calendriers, ils se sont tous réunis en un fleuve de cendres,