L'air du matin m'excite. Le sol est encore humide de la rosée de la nuit. Avant de monter dans l'auto, je lève les yeux vers cette maison où j'ai vécu pendant un an. Les premiers rayons du soleil frappent les vitres. Quelques instants plus tard, la rue Aribau et Barcelone ne sont plus que le passé derrière moi.