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4.19/5 (sur 1985 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Caro M. Leene est contrôleur financier.

Elle s'est lancée dans l'écriture sur internet et cette activité est devenue une véritable passion. C'est ainsi qu'elle a participé à des concours d'écriture et qu'elle s'est fait connaître.

Le concours "Les Fantômes du passé" sur Fyctia lui donne envie de s’essayer à un nouveau genre, le thriller : ainsi naissent "Les Colombes" (2016), à la croisée entre suspense et romance, qui prennent rapidement leur envol pour atteindre la première place du concours... à la grande surprise de leur auteur !

www.facebook.comCaroMLeene

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Citations et extraits (136) Voir plus Ajouter une citation
" J'aimerais que nous puissions garder l'esprit des fêtes à l'intérieur d'un pot afin de pouvoir l'ouvrir et en profiter un peu à chaque mois."

Harlan Miller
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Ce n'est pas si grave que ça.
Ce. N'est. Pas. Si. Grave. Que. Ça.
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D' ailleurs, elle avait achevé sa propre liste [ de Noël ], et la nuit suivante j'avais rêvé que j'étais une Barbie, couverte de tatouages en smileys (...), vivant dans un camping-car rose fluo, gagnant ma vie en vendant des bracelets brésiliens que je tissais à l'aide d'une machine violette très sophistiquée.
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Allons donc droit au but ! Voici ma liste de souhaits : – Rencontrer un mec qui remplirait les cinq critères fondamentaux à savoir : canon, gentil, attentionné, généreux (sexuellement parlant j’entends) et FIDÈLE. J’insiste volontairement sur ce dernier point car, comme tu le sais (ne fais pas l’innocent, tu me surveilles toute l’année), David, ce sale enfoiré, n’a pas vraiment respecté cette règle.
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— Tu n’as pas besoin d’être parfaite. La vie elle-même est imparfaite. C’est une succession de surprises et d’imprévus auxquels on doit sans cesse s’adapter. Être soutenue par ses proches n’est pas un signe de faiblesse. Grâce à eux, tu pourras traverser les moments difficiles et garder espoir, même quand tout te semble insurmontable.
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- Pourquoi ne pas me l’avoir donné en main propre, madame la maligne ?
- Oui, entre le Peppa Pig et le thé, ça aurait été du plus bel effet ! Ta patronne aurait ouvert son sachet de thé, et toi, pendant ce temps, tu te vois exhiber la lingerie sexy offerte par son fils ? Sois sérieuse cinq minutes, Andie !
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Avis partagé par Maureen, ce qui nous vaut d’ailleurs ce précepte plein de bon sens : Manger avec plaisir fait gonfler le cœur et non le cul. Faux mais déculpabilisant !
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- Aubrey, nous sommes au deuxième étage ! N’imaginez pas que vous allez pouvoir vous enfuir !
Démasquée !
- Savez-vous que certains chats ont survécu à une chute de trente-deux étages ?
Il hausse un sourcil et peine à retenir son sourire.
- A-t-on une photo de ces pauvres bêtes après l’atterrissage ? Car je ne suis pas certain que survivre à une chute de trente-deux étages soit une bonne chose et, entre nous, je vous déconseille fortement de sauter par la fenêtre. Je vous rappelle que je suis votre professeur principal, je connais vos notes dans les autres matières et le sport n’est pas un domaine dans lequel vous excellez.
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PROLOGUE
Octobre 2009

Le vent me cingle le visage.

Je pédale de plus en plus vite, de plus en plus fort.

J’entends un hurlement au loin. Un animal ? Je frissonne et j’accélère.

La nuit… La nuit et ses ombres, ses bruits, ses chuchotements, ses mouvements auxquels on ne prêterait jamais attention en plein jour.

Mes mollets sont douloureux, mais je continue. Je n’ai pas besoin d’aller vite. Personne ne m’attend. Mais ma tristesse, ma douleur et ma peur, elles, s’impatientent.

Comment tout cela a-t-il pu arriver ?

Cette soirée devait être une simple soirée entre filles, dans les bois, une soirée pour se faire des confidences, pour se lâcher un peu, pour s’amuser, pour se raconter nos rêves et nos peurs, et s’en moquer gentiment.

Cela fait à peine dix minutes que je les ai quittées, dix minutes que je suis seule dans la nuit. Mes larmes ont dû sécher. Je devine sans les voir les longues trainées noirâtres qui doivent strier mes joues. Du revers de la main, je me frotte le visage et essaye de les faire disparaître.

Anne.

Elle était pleine de sang. Ma vision se brouille au souvenir de cette image cauchemardesque. L’autre aussi était couverte de sang. Je savais que cette fille ne nous attirerait que des problèmes, je le sentais.

Je profite de la ligne droite et ferme les yeux. Je connais le chemin par cœur, des années que j’arpente cette route.

Le vélo roule pratiquement tout seul, j’enlève mes pieds des pédales et les appuie sur le cadre, je le laisse me ramener chez moi.

Je pense à Anne, ma petite Anne, ma douce, ma gentille Anne…

Dans la noirceur de ce jeudi d’octobre, je laisse échapper un sanglot. Mon cri résonne dans le silence de la nuit puis meurt dans la campagne.

Dans le virage, je manque de déraper et mon cœur s’emballe. Je réussis tant bien que mal à rétablir l’équilibre et reprends ma course folle.

J’ai vingt ans et ma vie vient de changer. J’ai vingt ans, et ce soir, je sais que ma vie ne sera plus jamais la même.

Je pédale toujours plus vite.

Je suis seule. Je ravale les larmes qui menacent à nouveau de couler. Je ne dois pas pleurer. Personne ne doit savoir.

Nous nous sommes séparées il y a maintenant vingt minutes. Chacune a son rôle, chacune a son plan. Chacune doit s’y tenir.

Je pédale encore et encore, je peine à respirer, mais je dois rentrer.

J’ai peur.

Ma poitrine cogne et j’ai du mal à avaler ma salive.

Au loin, j’aperçois enfin les lumières familières et rassurantes de la maison. Je freine et, sans m’arrêter, je saute du vélo. Entraînée par les roues toujours en mouvement, je cours sur quelques mètres puis finis par m’immobiliser devant le petit portail.

On y est.

Tout commence maintenant.

J’appuie sur la poignée et traverse le jardin, je pousse la porte en criant : « C’est moi, je suis là ! ».
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Manger avec plaisir fait gonfler le cœur et non le cul. Faux mais déculpabilisant !
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