Vous avez raison sur l'aspect à la fois onirique et architecturé de ma peinture. J'ai toujours, aussi loin que je me souvienne, conçu la peinture comme une forme de pensée d'à côté, intuitive et en même temps précisément signifiante. une pensée vive et constitutive mais échappant au filtrage du principe de réalité. Disons une pensée qui ne subit pas les limites inhérentes à la rationalité.
La peinture de Caroline Guth est évidemment à part. c'est la première impression qu'elle produit. Qui saisit, qui persiste. " Evidemment à part " ... un monde d' une évidence particulière. Alors autant partir de là pour l'approcher.