Maintenant, en regardant depuis la passerelle ma mère sortir sur la plage, s'avancer jusqu'à la lisière des vagues et reculer quand leurs doigts d'eau se tendent vers elle, je me rends compte que, depuis hier soir, elle n'a plus besoin de me protéger de quoi que ce soit.
Je connais la réalité de notre monde. J'ai vu des Mudos arracher de la chair humaine. J'ai vu à quoi ressemble l'infection et j'ai vu des mutations.