C'est comme vous, les filles de la classe, qui me gavez avec vos histoires qui dégoulinent, sur vos mec qui sont TROP bien, TROP mignons, TROP tout à la fois, (...)... Et qui chialez des larmes quand les textos n'arrivent plus à la cadence de dix par heure, ou dix par jour, ou dix par mois. L'oubli par texto, ça arrive vite aussi.