On insiste souvent sur le catholicisme d'Yves, mais lorsque j'ai vécu un peu au Japon, beaucoup plus tard, je me suis rendu compte qu'Yves était débiteur du shintoïsme à plein d'égards, notamment pour son idée du vide comme départ et comme aboutissement, et pour le fait de se focaliser, dans les Anthropométries, sur la partie centrale du corps, siège de l'énergie vitale universelle. (p.177)