Citations de Cécilia City (70)
Tu peux encore me repousser. Me demander d'arrêter. M'obliger à m'éloigner de toi, à ne plus te toucher.
L’amour, le vrai, s’affranchit des codes, des qu’en-dira-t-on et de toutes ces conneries de normes.
Il est infini.
Il est puissant.
Il est indomptable.
L'amour, le vrai, est fait de nuances, de compromis, de concessions. L'amour, le vrai, est inattendu. Il nous tombe dessus sans prévenir et est sans limites.
Vous m'avez très bien entendue, agent Lombardi. Si ce n'est pas le cas, je vous conseille de passer des tests médicaux et de laisser votre place à un individu qui n'a pas le canal auditif encombré par toutes les pensées nombrilistes, autoritaires et phallocentriques qui tournent en boucle dans sa tête, lui asséné-je en le doublant définitivement pour monter au deuxième étage.
Notre étreinte me rappelle à quel point l'amitié est fondamentale, plus importante que tout le reste. Un peu comme la famille. Il faut profiter des gens qu'on aime et des gens qui nous aimeent. Saisissons le bonheur lorsqu'il se trouve sous notre nez.
- Alors, si je peux vous donner un conseil d'amie à ami, Stan, dites-le-lui. Il n'y a pas plus beau cadeau pour une femme que d'entendre l'homme pour lequel son cœur palpite s'engager sans limites et sans crainte. Vous êtes prêt à gravir des montagnes, traverser des océans et aller chercher le lune pour Alessia. Ne vous contentez pas de penser qu'elle le sait. Il n'y aura jamais plus belle preuve d'amour.
Chapitre 1 :
«…
— Je n’ai rien insinué de tel.
— Très bien, dans ce cas, il n’y a rien à dire.
— Au contraire. Tes actes parlent d’eux-mêmes. Tu t’es mise de danger cette nuit. Tu as failli te noyer. Ne recommence plus jamais cela.
— Pardon ?
— Laisse-moi finir. Tu te sens mal, je le conçois. Tu me parles, tu parles à ta mère ou à Ariel. Tu peux hurler, crier, te déchaîner, frapper contre les murs. Mais plus jamais le genre de chose que tu as fait hier.
— Tu ne comprends pas, Sébastien. Je…
— Je veux faire un bout de chemin avec toi, si ce n‘est ma vie. Je ne te laisserai pas te détruire, Chloé.
Je l’écoute, très attentivement.
— Maintenant, ce n’est plus seulement toi, c’est nous. Nous deux.
…
— Mais c’est récurrent chez moi, il n’y a que les choses extrêmes qui m’apaisent. L’eau en était une.
— Laisse-moi être cet extrême, répond-il le plus sérieusement du monde en me fixant de son regard perçant.
— Si tu envisages vraiment de me garder auprès de toi. »
Vous avez le droit d'être heureuse comme tout un chacun. Prenez tout ce que la vie a de positif à vous offrir sans vous poser de questions! Il n'y a pas de hasards, que des rendez-vous.
Alexandra est devenue plus que l'objet de l'opé. J'ai besoin d'entendre sa voix, son rire tonitruant quand elle gagne une partie de cartes, de sentir ses pieds froids lorsqu'elle se couche contre moi dans le lit. De caresser sa peau douce, de dévorer ses lèvres pulpeuses. De l'enlacer et de ressentir un manque infini en la lâchant.
L’amour, le vrai, est fait de nuances, de compromis, de concessions. L’amour, le vrai, est inattendu. Il nous tombe dessus sans prévenir et est sans limites. L’amour, le vrai, est authentique, sans fioritures et, par dessus tout, il a goût de la liberté.
- La repartie n'est pas votre fort.
- La connerie est le vôtre
Cet homme est un peu comme une cuillerée de Nutella... Il rend le quotidien plus doux.
Vos chamailleries sont divertissantes. Les oeillades que vous vous lancez sont attendrissantes. Quant à vos rapprochements discrets, ils sont croustillants.
- Ce que vous pouvez être agaçante ! Si je n'avais pas d'obligations demain, je vous pousserais de la falaise.
- Des obligations ?
- Oui, si vous disparaissez, je devrais participer aux recherches pour ne pas être suspecté de meurtres ! Ce qui me ferait rater mes rendez-vous !
Il me tire et m’attire contre lui pour me donner un baiser passionné. Le genre de baiser intense et puissant qui vous chamboule et vous bouscule. Le genre de baiser qui vous marque pour toute une vie. Celui qu’on ne délivre qu’à une seule et unique personne : celle qui vous fait vibrer.
Les contes de fées existent, mais ils sont différents de l'idéal que les gens en ont. Ils sont ce que l'on en fait.
"Quel est le pire ? Me dire que notre premier baiser, que j'ai rêvé une centaine de fois, est raté ou qu'il me manque une sacrée touffe de cheveux qui foisonne sur le torse de Loris, plus précisément dans sa fermeture éclair définitivement bloquée ?"
"Si j'écoutais ma mère, je me retrouverais mariée à Loris, à la tête d'une famille nombreuse et gérant en parallèle l'un des cinq points de vente parisiens de la Maison Dorée."
"Au vestiaire, je suis l'une des dernières à partir. Bavarder avec ma collègue pâtissière m'a fait perdre une demi-heure, mais gagner des abdominaux. J'ai tellement ri que mes joues sont endolories au moment où je traverse le rez-de-chaussée. Loris debout devant l'arbre de Noël qui s'illumine de toute part attend quelqu'un ou quelque chose."
" Si mon cœur était un gâteau, c'est à toi que je donnerais la plus grosse part."