La possibilité d’un divorce ne m’avait jamais effleurée. Pour cela il fallait des disputes, il fallait un certain niveau de spontanéité et chez moi j’étais toujours confrontée à l’assurance paisible que les jours se succéderaient identiques. Il n’y avait pas de place pour le doute. Nos existences suivaient le programme déterminé par mes parents.