Juste avant de sortir du gymnase pour rejoindre le terrain , je croise mon reflet dans un grand miroir. Ouf! Je ne ressemble pas tant à une perruche. Non. Je me rapproche plus d'Arlequin! Mais un Arlequin vêtu d'un costume de seconde main . Un Arlequin très malchanceux, qui se serait en plus fait racketter par une bande de loubards hippies en mal de tissu pour la création d'un plaid en patchwork. Je suis consternée. Seule note positive, la pluie a cessé de battre et le soleil fait une percée. (p88)