« — Ton petit déjeuner ? m’enquis-je, feignant l’innocence à merveille.
— Que des adultes. Ni femmes, ni enfants, grogna-t-il avec un drôle de rictus découvrant ses énormes crocs.
Je me retins de rire franchement, surtout en avisant la mimique horrifiée de mes comparses.
Je savais pertinemment que c’était une plaisanterie, ce qui n’était pas leur cas.
Enfin… j’espère qu’il plaisante. »