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Citations de Céline Mancellon (333)


- J'ai pris un risque incroyable pour vous secourir, et pourtant vous paraissez en colère contre moi... n'êtes-vous pas ingrate, femme ?
- Je m'appelle Cassie. Et non "femme", espèce de mufle !
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En cherchant a se débattre, Cael tomba sur le carrelage froid de la cuisine, entrainant l’audacieux punk dans sa chute ; Celui-ci se retrouva au-dessus de lui et le trentenaire ne put s’empêcher de rire franchement face a la situation cocasse. Ce n’est pas le type le plus âgé qui est censé être un pervers et désireux d’abuser du jeune et innocent étudiant ?
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Je sais que je l'aime. Parce que le regarder me fait mal, ce qui me rend paradoxalement vivante. Comme des débris de verres qui s'enfonceraient dans ma chair, mes organes..., mon âme. Je l'aime parce que, quand il me touche, j'ai le corps qui explose en un millier de particules. Parce que, lorsque je l'écoute parler, j'oublie de penser. Parce que, quand il est près de moi, j'ai le sentiment que personne ne peut m'atteindre. Parce qu'il suffit que nous soyons dans la même pièce pour que mon univers se résume à lui. Je l'aime et j'étouffe. J'étouffe d'être impuissante à chasser ce qui le hante en cet instant.
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- Vous me fuyez, je suis celui qui vous chasse. Je vous fuis, vous serez alors celle qui me poursuivra. Telle est la danse des flammes, Ashana.
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je dois avouer que c’est génial d’avoir un homme sous la main : robinet qui fuit, évier bouché, ampoule grillée, film d’horreur méga flippant. Féministes ! Ne rejetez pas immédiatement le mâle… Il est toujours possible de lui trouver une utilité pratique.
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Ce n’est pas bien, Ian. Tu es le frère de Marc… Il déteste aussitôt l’inflexion éraillée de sa voix ; elle dévoilait sans aucune pudeur la violence de sa concupiscence. Quand a ian, en entendant le prénom de son ainé, il se figea instantanément, les prunelles bleutées obscurcies par un terrible orage au gout de tempête.
Quelle importance ? Je n’ai pas choisi de l’être figure toi ! Sans qu’il s’attende à une telle réaction de sa part, Ian lui frappa le torse de son point. C’est moi qui suis devant toi, et non Marc ! Moi ! L’étudiant réitéra son geste, les yeux remplis de l’armes contenues, ces dernières menaçaient d’étaler les traces de Khol.
C’est moi… moi qui t’aime ! cria-t-il en laissant subitement libre cours à son chagrin. Il lui donna un autre coup sans y mettre toute la force de son désespoir. Cette porte ! ouvre-la ! C’est ton cœur que je désire squatter ! Pas ton appartement !
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Gael, lui était sous le choc. Un type ressemblant à un punk drogué était dans sa salle de bain... Qu'est ce qu'il fichait là?! Comment était- il entré?!

- Mais qu'est-ce que... Commença le trader au bord de l'apoplexie.

- Y'a plus de gel douche, dit le jeune homme en tendant un flacon vide au propriétaire des lieux.
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— M-Day… je ne crois pas que… bredouilla t-elle en tentant de m’empêcher de fouiner dans ses affaires.
Je sortis une espèce de longue jupe en jean, la tenant du bout des doigts comme s’il s’agissait là d’un vêtement imbibé d’une substance dégoûtante.
— C’est quoi cette chose… un uniforme de nonne ? File-moi une paire de ciseaux !
La jeune fille m’arracha la jupe des mains pour la serrer contre sa poitrine.
— Hors de question ! cria Lenah, affolée.
— La police de la mode va te mettre sous les verrous, petite marchande, dis-je, le plus sérieusement du monde. Mais nous allons y remédier… dès que tu m’auras donné de quoi laisser libre cours à mon incroyable génie.
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- Qu'elle fasse le travail d'un homme, vous voulez
dire?

J'acquiesçai, puis attendis nerveusement sa réponse. Il m'étudia un moment avant de reprendre la parole:

- Pour être honnête, avant vous, je ne m'étais ja- mais posé la question.

- Alors ? Vous avez bien une opinion sur le sujet ! m'impatientai-je.

- Je dirais ceci : si c'est ce qu'elle veut et qu'elle se révèle compétente, pourquoi pas ? À mes yeux, seuls les résultats comptent. La manière d'y parvenir ne
reste que ça, un moyen.
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— Adrian ! réitéra-t-elle. Pas de baisers en public ! Ai-je mentionné le fait que les membres de la sécurité présents sont assez portés sur les commérages, surtout quand la concurrence est impliquée ?
— Pas en ces termes exacts, non.
Elle le mitrailla des yeux.
— Au temps pour moi. Qu’ai-je dit exactement ?
— Sauf erreur de ma part, tu as évoqué des rumeurs, et non des commérages.
— C’est tellement différent, il faut l’avouer.
— 7 lettres pour le premier, et 10 pour le second. Ça ne pardonne pas, au Scrabble. Tu peux perdre une partie sur une telle différence. Imagine qu’il y ait une case compte triple ? C’est la catastrophe. 
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Tu sucres ?
— Mhm. Trois.
— Trois ?! Ce n’est plus un café sucré mais du sucre au café !
— J’aime les choses douces… susurra le jeune homme d’une voix enjôleuse.
Les poils des avant-bras de Cael se dressèrent sous l’intonation caressante. Il lui jeta un rapide coup d’œil. Que faisait ce gamin ? Il… il ne flirtait pas vraiment, là ?!
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Et je les vis.
Un énorme poster de moi au-dessus de la tête de lit.
Celui offert en cadeau lors de la sortie de mon précédent album. Du pur fan-service : je posais torse nu arborant avec arrogance une multitude de tatouages - tous vrais - sur un fond apocalyptique.
_ D'accord, murmurai-je.
J'étais chez une de mes fans.
Bordel... j'allais finir comme l'écrivain dans le roman de Stephen King : Misery.
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Bérénice fut vraiment surprise que Faustine et Edmond – les Corbeaux – acceptent aussi facilement la présence de sa fille.
Lorsque l’homme avait tenté de les congédier, avec des mots durs, Faustine, sa femme l’avait subitement interrompu, en posant sa main frêle sur l’avant-bras de son mari.
Elle pouvait travailler pour eux à la seule condition de respecter un règlement intérieur pour le moins étrange.
Interdiction à elle et sa fille de se promener dans la maison durant la nuit. Et encore moins dans le gigantesque jardin entourant la demeure.
Interdiction de pénétrer dans les pièces de la partie droite de l'habitation.
Interdiction d’inviter qui que ce soit au Domaine.
Interdiction d’évoquer à quiconque ce qui se disait ou passait dans cette maison.
Bérénice devrait s’occuper uniquement du ménage après leur départ. Pour l’entretien du jardin, un certain monsieur Granson viendrait tous les trois jours s’en charger
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Sur ce, il tendit brusquement la main en direction de mon visage. Je la contemplai un instant, ainsi que ses doigts écartés, perplexe.
- Que voyez vous, humaine ? me demanda t il d'un ton abrupt.
- Des doigts ? lui répondis je, tout en me demandant où il voulait en venir.
Il me sourit avec condescendance. Visiblement, il s'était attendu à ce que je lui dise ça.
- Moi, j'y vois l'individualité dans un groupe. J'y vois la faiblesse des hommes qui vivent ensemble et pourtant uniquement centré sur eux mêmes.
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Après une longue inspiration, je fais ce que mon instinct de survie me dicte. Je me tourne et commence à courir pour aller me cacher dans ma chambre.
Dans une autre vie, j’ai dû être un animal au plus bas de l’échelle alimentaire.
Oui, rien en moi ne ressemble de près ou de loin à un prédateur.
Par contre, me barrer pour sauver ma peau, là, j’excelle !
On ne peut pas lutter contre des milliers d’années d’incarnations systématiques en nourriture sur pattes. 
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Je ne sais pas pourquoi la bande a voulu passer la soirée dans ce camping pourri.
Ah, si… pour « pêcher ».
Ces crétins étaient tellement déchirés dès l’aube qu’ils n’avaient même pas foutu un putain d’appât sur leur putain d’hameçon !
Un poisson, c’est con, mais pas à ce point-là. 
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"Koran écarta d'une bourrade Ulrich. Ses yeux m'incendiaient sur place alternant le jaune animal et le chocolat au lait.
-Pose ta tasse, Beth, ordonna-t-il d'une voix métallique.
Trop hypnotisée par son regard changeant, je ne m'exécutais pas. Agacé, il m'enleva lui-même le mug de café des mains, puis le déposa sur la table de nuit.
Là, Koran saisit ma nuque de la main droite et leva mon visage vers le sien d'une légère pression. Je me noyai dans son regard, ma louve l'implorait d'une caresse, d'un baiser. Et c'est avec une sauvagerie sensuelle qu'il accepta sa demande. Devant les deux membres interloqués de sa meute, il m'embrassa avec passion, me meurtrissant les lèvres des siennes. Lorsqu'il s'arrêta brutalement, je ressentis un froid jusque dans mes os. Koran taquina de ses dents le lobe de mon oreille, avant de chuchoter avec fièvre:
-C'est son corps que je vais prendre, mais c'est ton visage que je verrai, mon petit chiot."
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Heureusement pour poil-de-carotte que mes yeux n'étaient pas de vraies mitraillettes. Je l'aurais transformé en passoire. Je me sentais prête à exploser à la moindre remarque, limite à en arriver aux mains ..... Bref, le syndrome prémenstruel ......... en pire.
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- Oh, je vois. C'est donc pour mon bien que tu t'envoies Barbie pruneau! ironisai-je.
- Barbie pru...?
- Oui, elle me file la colique.
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— La chambre de monsieur Ken Stull, s’il vous plaît.
— Vous êtes de sa famille ? se renseigna-t-elle en pianotant sur le clavier de son ordinateur.
Adrian afficha aussitôt une moue épouvantée.
— Mon Dieu ! Non ! N’offensez pas mes ancêtres qui proviennent d’une très notable lignée d’aristocrates anglais. Je ne partage certainement pas mon sang avec cet individu. Non, je suis… je suis… comment appelle-t-on ça ?
— Un ami ? suggéra l’infirmière.
— Plutôt mourir dépecé par un bernard-l’ermite sous amphétamine.
— Un de ses assistants ?
— Là, c’est vous que je pousse dans une mer infestée de crustacés psychotiques.
— Un fan ? Si c’est le cas je peux seulement vous rassurer sur son état de santé.
— Souffrez-vous d’une quelconque déficience mentale ? l’interrompit-il âprement. 
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