(...) c'est à ce moment-là que j'aurais dû révéler la vérité. Clamer que je me fichais d'être médecin, pompier, charcutier, président de la République ou même garagiste comme lui ! Que je voulais être un garçon de dix ans, joyeux et sans souci. Pas un condamné aux travaux forcés, obligé de traîner son avenir comme un boulet au pied. (p. 14)