Il reprenait haleine, lorsque du pied, quelqu'un le poussa. Le dernier des Partinico leva les yeux et reconnut Gennaro Ala, le berger. Il pria :
- Laisse-moi... Je te donnerai tout l'argent que tu voudras...
- Tu as tué mon chien.
- Si tu m'aides à m'en sortir, je t'installerai dans ma maison.
- Tu as tué mon chien.
- Je ferai de toi le vieux le plus heureux de Diolivoli.
- Fallait pas tuer mon chien.
Le fusil de chasse de Gennaro tonna dans le soir et Carmelo mourut. Il n'y avait plus de Partinico.