Le lendemain matin il faisait du soleil. Les nuages, pendant la nuit, s'étaient défaits de devant la lune. Ils passent rapidement dessus, laquelle est là qui les élime comme la pierre fait d'un filet ; et, quand enfin le jour se lève, on la voit toute pâle et ronde, être seule dans le ciel bleu.
[C.F. RAMUZ, "Le Règne de l'esprit malin", 1917, chapitre III - III - page 1050 de l'édition La Pléiade, T.I]