Nous sommes aujourd'hui en pleine effervescence idéaliste... Si c'est à ce néant et à cette suspension dans le vide que, sous prétexte de "culture internationale" vous me demandez de souscrire, j'aime mieux me passer de culture. J'aime que les littératures, comme les nations, comme les individus, rivalisent. La véritable littérature internationale est la somme des littératures nationales, voilà tout... En résumé, je suis "universaliste", je ne suis pas "internationaliste".