« Le feu, oui, j'ai compris ! Ecoute, je ne sais pas si tu te rends compte, mais en plus d'assister à la déchéance d'un ange, je dois jouer les infirmières et stopper le saignement de blessures qui dépassent largement mes compétences. Le proprio ne voudra jamais me rendre la caution et va exiger des explications ! Et, pour finir, l'ange en question est à poil dans mon lit et gaulé comme un dieu. C'est un peu beaucoup pour la même soirée ! »
« Puis, ma naissance contre nature l'avait contraint à exposer la vérité : l'être qui grandissait dans le ventre de sa femme était mi-humain, mi-ange.
Quant à toi, Debbie, ma chérie, tu es une nephilim.
- La bonne blague, ricanai-je en me remémorant le soir où il avait mis un mot sur les changements qui s'opéraient en moi. Une nephilim. Comme si le fait de savoir que mon père était un ange ne suffisait pas. »