Croyez-vous que je sois un automate, une machine privée de sentiments, que je puisse supporter de voir arracher de mes lèvres la bouchée de pain, vider de ma coupe la goutte d’eau vivifiante ? Croyez-vous, parce que je suis pauvre, humble, sans agréments, petite, que je sois sans âme et sans cœur ? Vous vous trompez ! J’ai une âme comme vous, et autant de cœur !