Charly Reinhardt

un livre fort en émotions, des personnages ultra attachants (d'autres moins mais je vous laisse vous faire votre propre opinion)

une histoire addictive qu'on ne peut lâcher avant la fin

encore une fois un coup de cœur grâce à l'auteure alors que ce n'était pas gagné d'avance puisque d'habitude je n'aime pas les omegaverses

Avant de me lancer dans la lecture de ce très beau roman, j’ai dû quelque peu me renseigner sur l’univers. J’avoue que j’ai eu un peu peur d’être en dehors de ma zone de confort aux vues des choses que j’ai constaté pendant mes pérégrinations …

Effectivement c’est mon tout premier Omegaverse (et certainement pas le dernier : Charly ??? ) et quelle belle découverte. Je ne regrette absolument pas d’avoir franchi le pas et d’avoir mis mes aprioris de côté.



Dans un premier temps, je pourrais vous parlez de la magnifique histoire d’amour qui se crée au fil des pages entre Linc et Finn… Cette relation qui se base sur le respect de l’autre, l’acceptation de ses failles et de ses ressentis, mais “Broken Bonds”, c’est beaucoup plus qu’une romance. Alors oui ce récit déborde d’amour, de bons sentiments, mais c’est surtout un cri à la tolérance, un droit à la différence… Ce roman montre que ce que l’on est, n’est pas défini par notre appartenance à une caste, à un genre … Avant toute chose, l’humain doit primer.



Si j’ai aimé le message que délivre cette histoire, je dois dire que j’ai été extrêmement touchée par tous les protagonistes, ces êtres forts et fragiles à la fois… Ces alphas avec leurs failles, leurs démons et ces oméga /bêta qui ne se laissent pas marcher sur les pieds… C’est tout bonnement un sacré pied de nez à la “règle” et c’est d’autant plus appréciable. J’ai trouvé de ce fait, que les relations qui se créent entre les divers acteurs sont beaucoup plus intenses, plus captivantes et touchantes.



J’adore la plume de l’auteure car elle entremêle à merveille douceur et laideur, cruauté et tendresse… Encore une fois elle a visé juste avec le tempérament de ses divers protagonistes et sa façon bien à elle de nous délivrer leurs vies, leurs ressentis.

C’est tout naturellement que j’ai été capturé dans les turpitudes de Linc (J’ai souffert avec et pour lui - mais aussi pour Saul), que j’ai vibré au rythme de la relation qui prend vie tout en douceur entre Finn et ce dernier. Rien n’est précipité, tout s’amine dans la dévotion et l’abnégation. Linc et Finn sont deux êtres touchants, qui étaient faits pour être ensemble tout simplement.

Mais si je suis honnête avec moi même, c’est bel et bien Saul qui a volé mon coeur … Oupppsss :p



Je n’en dirai pas plus pour ne rien spoiler, mais je vous invite à votre tour à plonger dans ce magnifique roman …

Linc est un alpha, Finn un oméga. A partir de là, vous vous dites que l’affaire est courue d’avance et que nous sommes devant un autre de ces sempiternels récits omégaverses. Avant de dire ça, regardez le nom de l’auteur et vous saurez qu’il n’est pas possible d’affirmer que ce sera “juste” une histoire comme toutes les autres. Est-ce que Cha Reinhardt a déjà fait dans la simplicité ?

Une fois que j’ai dit ça, je suis obligée de vous en révéler un peu plus. D'abord, notre alpha est traumatisé (et pas juste un peu !) et notre oméga n’a besoin de personne pour tracer son chemin. Il est suffisamment fort et indépendant pour tenir tête à la moindre personne qui voudrait qu’il s’abaisse comme une carpette. Après, il paraît qu’il chante comme une casserole alors on pourrait avoir envie de le faire taire rien que pour ça, et pas seulement à cause de sa grande bouche ! (enfin, je dis ça uniquement parce que massacrer du Freddie Mercury devrait être puni par la loi !)

Bref, ça paraissait mal engagé. Oui, mais voilà… Finn est la gentillesse incarnée alors impossible qu’il laisse son voisin de palier dans la détresse. Commence alors un lent processus d'apprivoisement et de mise en confiance. Et lorsque Finn a besoin de soutien, c’est naturellement Linc qui lui trouve la personne providentielle. Et si cette personne est un sale con d’alpha traumatisé lui-aussi ? Qu’importe s’il peut apporter toute l’aide dont Finn et sa sœur ont besoin ! Bon, c’est là que je suis obligée d’avouer que c’est mon personnage préféré (est-ce que ça veut dire que j’aime les connards arrogants ?? Heu… no comment)

Nous sommes ici avec quatre personnages, leurs forces et leurs faiblesses. Leur manière de faire front et de remonter la pente. Leur façon d’accepter de faire confiance et de s’abandonner. Leur aptitude à tenter de vivre plutôt que survivre pour certains, à se battre pour ce qu’ils croient comme juste pour d’autres. Et en toile de fond, l’humain dans ce qu’il a de plus laid, quand naître alpha te donne le droit de rabaisser tout autre personne et quand ces êtres dits inférieurs se rebiffent pour créer l’horreur. Des questions de société qui interrogent sur les discriminations, les abus qui en découlent et apportent toute leur épaisseur à un récit hautement addictif.

Oui, un roman de Charly n’est jamais “juste” une histoire. C’est toujours plus profond, plus large et plus puissant.

S’il y a de la souffrance, c’est sans voyeurisme mais sans concession non plus.

S’il y a de la guérison, c’est toujours avec justesse et pudeur.

S’il y a de l’amour, c’est avec passion et tendresse. Comme un fil de lumière qui porte les personnages hors de leur obscurité.

Et c’est beau.

La couverture est originale et intrigante.

Ce livre est un très bel objet parsemé de belles illustrations qui apportent un plus à l’histoire.



Linc a vécu des années difficiles et a du mal à se reconstruire après les événements traumatisants qu’il a traversé. Sa rencontre avec son voisin va remettre en cause sa façon de vivre…



Linc est un alpha traumatisé qui a du mal à faire face à sa vie quotidienne.

Il n’a qu’un seul ami et ils sont solidaires.



Finn est un jeune homme bien dans sa peau au caractère bien trempé et qui sait ce qu’il veut. Il refuse de subir sa nature.

Avec sa sœur, il fait une équipe de choc. Ils se comprennent et sont complémentaires .

C’est une femme de caractère, très attachante, qui quand elle prend une décision s’y tient. J’ai aimé sa volonté d’aider Linc sans le brusquer.



L’arrivée de Finn dans la vie de Linc est comme un tsunami qui va tout retourner sur son passage. Les deux hommes vont devoir évoluer, s’ouvrir à l’autre en se comprenant et en s’acceptant.

J’ai adoré leurs échanges et leur façon de faire front.



l’auteure sort des sentiers battus avec ces personnages originaux et une intrigue prenante pleine de rebondissements. J’ai adoré sa façon de voir l’interaction entre les deux hommes mais surtout avec les positions sociales.

La plume fluide et pleine d’humour sert un récit addictif.



J’ai passé un excellent moment de lecture �t j'ai hâte de découvrir d’autres histoires de Charly.

Je remercie ma partenaire charly pour sa confiance et pour l'envoi de ce #service presse



Les omegaverses ça me connais, au fils de mes années de lectures, ce genre est devenu mon péché mignon. Entre autres, mon petit plaisir coupable ! Malgré tous, une redondance subsiste continuellement avec ce genre. Le fragile petit oméga secouru par le fort et charismatique alpha qui n'a peur de rien ni de personnes..



Et croyez-moi, malgré mon amour pour ce genre, c'est de plus en plus difficile de supporter un tel tumulte de clichés à chaque nouveaux titres qui sort.



Cependant, si je vous parle de ce titre-là précisément, c'est parce qu'il a cassé tous les codes. Il a dépassé toutes mes attentes et réalisé tous mes rêves les plus fous. Un coup de massu dont j'ai du encaisser le coup dès le prologue tellement il fut dur !



Les thèmes sont forts, percutants, saisissent, bouleversant et ils ont éveillés en moi un instinct de protection hors du commun mais également mon instinct bien rouillé d'enquêtrice. Pourtant, pipe au bec, lunette sur le nez et un peu d'huile de coude pour refaire marcher tout ça et mon instinct n'a jamais autant brillé. J'ai été fière comme un paon !



Ce titre nous renvoie au fondement même du "tout est possible" que rien n'est inscrit nul part et qu'il est possible de tout réaliser ! Et Charlie a réussi se parie complètement dingue.



Linc m'a brisé le cœur dès les premiers instants. J'ai eu envie de le couver et le protéger de tous les dangers extérieurs ! Comment l'humain peut-il être aussi peu ce qu'il est censé définir, un être qui ressent des émotions fortes telles que l'empathie et l'amour.



Heureusement, tout comme pour lui, Finn est venu éclairer ma vie de son rayonnement chaleureux et addictif. Aucune envie de le laisser filer, une vraie bombe d'énergie emplies de tant de sentiments humains ! J'ai aimé leur jeu ringard de blind test improvisé par les t-shirts farfelues de Linc, leur échange devenir de plus en plus intense.



Et quand tout me paraissait prendre son temps, Saul est venu avec sa confiance désarmante son attitude de lion prêt à tout conquérir. Et il a capturé mon cœur sans retour en arrière possible. Un fauve prêt à tout rafler sans laisser aucune miette à son adversaire ! Un être brisé qui affronte l'adversité comme un lion en cage indomptable et pourtant si attentif et intrigués devant sa lionne.



Evy cette femme forte qui ne cille devant rien ni personne. Ce qu'elle a, elle le doit à elle même et personne ne pourra jamais lui dire le contraire. C'est une femme simple et forte qui casse tous les clichés et qui nous touche avec son côté maternel, une maman lionne qui ne laissera personne faire du mal à sa famille !



Et les griffes, ils va falloir les sortir car quand la lutte des classes s'entrechoque il faut savoir rester bien accroché car tous les moyens sont bons pour détruire son adversaire quitte à déballer toutes les failles. L'empathie n'a pas sa place dans cette bataille au sommet !



Le style de Charly est toujours aussi addictif, c'était très dur d'arrêter tous les 5 chapitres. A chaque fois l'envie d'en savoir plus était présente et les questions se multipliaient sans cesse dans mon esprits. De plus, une ombres planait toujours au dessus de ma tête, qu'allait nous réserver Charly ? Connaissant désormais sont penchant pour le sadisme je me mefiais à chaque instant de ce qu'elle pouvais nous réserver



En conclusion, c'est une lecture percutante que j'ai adoré ! On frôle le coup de cœur sans suspens, un rien pour le devenir mais un manque quand même persistant de Linc et Finn. Un rien qui m'a pourtant laissé un petit vide que mon imagination essai de combler. En bref, je cous recommande les yeux fermés cette lecture qui casse les codes et qui nous offre une histoire d'amour percutante dans la douleurs mais fortes dans ce qu'elle apporte par son espérance.

❤ coup de cœur ❤



Linc a vécu l'enfer. Il a été enlevé, séquestré et a subi des sévices impossibles à oublier. Il est resté avec ses bourreaux plusieurs années et quand enfin il a pu y échapper, c'est dans sa tête qu'il est resté enfermé. Il a pu reprendre un peu d'autonomie et vivre dans un appartement et en voisin un fan de musique qui s'est donné pour mission de massacrer un titre correspondant à chaque tee-shirt que porte Linc quand ils se croisent.

Ce voisin c'est Finn, jeune homme solaire avec un côté un peu exubérant propriétaire d'une boutique de musique.



Doucement ils vont apprendre à communiquer puis Linc va être rattraper par ses démons, ne pouvant pas intervenir, Finn demandera de l'aide à sa soeur Evy pour que son voisin puisse affronter un moment plus que difficile. De là, leur discussion sera plus fluide jusqu'au moment où c'est Finn qui aura besoin de soutien et sans le savoir, cette lettre changera leur vie, autant celle de Linc et Finn mais également d'autres personnes...



Quand on me connait, on sait mon amour pour l'omegaverse alors coupler avec la plume de Charly je savais que ça allait me plaire, bon pour être honnête je ne pensais pas autant. Commençons par le pied de nez aux habitudes dans ce type de lecture. Exit le grand alpha dominant et bonjour alpha traumatisé. Il se déteste, est dégouté par son corps tout comme les réactions que son genre lui impose. Il a beau essayer de reprendre le contrôle de sa vie, c'est plus facile à dire qu'à faire. Et de l'autre côté, vous avez Finn, oméga, qui a un fort caractère et qui ne veut pas être rabaissé et cloisonné dans le rôle dicté par sa naissance.

Même si l'attraction est forte, rien n'est gagné car Linc a un gros chemin à faire pour supporter ne serait-ce que respirer près d'un oméga.

L'amitié entre eux va permettre à Finn d'apprivoiser l'alpha cabossé et les coups durs qu'ils vont encaisser vont les rapprocher, le jeune homme permettant de redonner doucement confiance à Linc.

Il ne faut pas se leurrer, ce livre ce n'est pas cuicui les petits oiseaux, c'est sombre et pourtant j'ai trouvé ça touchant, fort et avec une morale intéressante. On ne devrait pas être catalogué en fonction de son genre de naissance (pour le coup ça me parle bien sûr).



J'ai également aimé les personnages secondaires récurrents qui ont eux aussi leur histoire et leurs démons. Un combat va se mener et ce n'est pas que pour la garde d'un enfant que ça va se jouer. Il y'a le soutien et l'exorcisme des cauchemars de chacun. Rien n'est simple et j'ai apprécié que Charly n'enjolive pas le tableau.



Bref je pourrais en parler des heures tellement j'ai aimé cette histoire avec toutes les émotions qu'elle m'a fait ressentir au point d'avoir la gorge serrée et les larmes qui montent face à la force de ces hommes. J'en dit trop j'en dit pas assez, je ne sais plus trop à ce stade, j'ai une page de notes et une dizaine d'extraits qui m'ont touché c'est dire. Maintenant, c'est à vous de voir si vous voulez tenter l'aventure 🙂

Broken Bonds, c’est un roman bouleversant, un univers qui met en scène un omegaverse, mais qui parvient également à le faire sortir des sentiers battus, parce que malgré une hiérarchie stricte de la société, on vient bousculer les préjugés, on vient mettre à mal des idées préconçues, parce qu’après tout, peu importe vos statuts, il est possible de tout transgresser, l’ordre établi, même s’il s’avère bien difficile de faire changer des traditions si ancrées dans les mémoires, pourtant, cette histoire d’amour saura nous prouver que tout est possible, avec patience et espoir !
Lien : https://elodit.fr/2024/04/05..

Les personnages sont touchants, dans leur lutte pour survivre aux traumatismes ou dans le combat contre les nantis de la société.

Outre les relations bien menées entre les protagonistes et l'intrigue bien construite, ce qui rend remarquable ce roman c'est aussi le fait que cet omegaverse se joue des codes établis.

Linc et Finn, même prisonniers de leur métabolisme, n'incarneront pas les rôles classiques de l'Alpha dominant et de l'Oméga tout mignon.

Un très bon moment de lecture.

#coupcoeur



Une fois n’est pas coutume la magie Charly Reinhardt a opéré de la meilleure façon qui soit. Avec son style si particulier elle a trouvé les mots justes pour m’ébranler à tous les niveaux. Il est vrai que j’ai énormément souffert. Mes larmes ont beaucoup coulé à plusieurs reprises. À un moment j’ai même dû m’arrêter pour me calmer tellement j’étais au bord de l’implosion ! Et pourtant je chérirai chaque moment passé auprès de Linc, Finn, Saul et Evy. Broken Bonds est un omegaverse qui sort des sentiers battus et qui risque de faire débat au vue des thèmes sensibles abordés. Mais c’est surtout un récit poignant d’une beauté brute qui va non seulement marquer les esprits mais également donner à réflexion. Une magnifique ode à la tolérance. Un petit diamant qui est à découvrir et qui aura une place de choix dans ma bibliothèque papier.
Lien : https://wp.me/p5AuT9-dNJ

Le genre omegaverse n'est pas dans mes habitudes mais je ne rechigne jamais à le découvrir quand c'est proposé par un auteur ou une autrice dont j'apprécie la plume.



Charly Reinhardt emprunte un chemin peu évident à mener : celui de conserver des caractéristiques qu'on prête aux omégas, aux alphas et aux bêtas tout en y ajoutant les nuances nécessaires à une approche bien plus complexe.



L'autrice s'en tire particulièrement bien puisqu'elle maîtrise l'art des émotions et nous entraîne facilement dans les méandres intérieurs de ses personnages. Dès les premières lignes, dans l'esprit embrumé de ce protagoniste torturé, nous pouvons déjà sentir le potentiel de cet univers.



J'ai beaucoup aimé le personnage de Finn puisqu'il m'a semblé, à la base, bien engagé sur son chemin d'oméga sortant du lot. Du côté de Linc, les choses sont moins établies. Son fardeau est là, encombrant, handicapant même, mais il est plus en subtilités. On s'attache assez vite à eux.



Evy était incroyable, si bien que je n'aurais pas refusé quelques scènes supplémentaires avec elle au premier plan.



Une belle découverte.

J’ai commencé cette histoire tranquillement, à un moment où le temps m’a sérieusement manqué alors que je ne pouvais pas le prévoir. Mais ce que j’aurais pu anticiper en revanche, c’est à quel point je me suis retrouvée accrochée à cette histoire, comme une moule (enfin, ici plutôt un poulpe) à son rocher ! Résultat des courses : le réveil sonne, je me précipite sous la douche. Pas de temps à perdre, bon sang ! Petit déjeuner accompagné de LA lecture, Départ au boulot (en ronchonnant évidemment ! Imaginez que j’ai été contrainte de laisser l’équipage du Providence dans les ennuis jusqu’au cou !! Non pas que j’aurais pu faire quoi que ce soit, mais quand même !!) Repas de midi vite avalé, toujours en compagnie de Drew, Lyn, X7, Shaaki, Patch et Cie… Seul problème, j’étais tellement accaparée par les aliens que j’en ai oublié l’heure ! Le comble ! Être en retard alors qu’on voyage à bord d’un vaisseau capable de faire des bonds dans l’espace pour se déplacer plus vite ! Bref, je me suis fait une raison… mieux valait éviter de lire à la pause méridienne ! Le lendemain, ils faisaient des calamars à la cantine. Non pas que j’aime ça, ce serait même plutôt l’inverse, d’autant que les poulpes, je ne peux plus les voir en peinture ! Cependant, en fricassée, grillés voire cramés même, je pense que c’est une image qui plairait à notre équipage !

Et l’histoire alors ? Mais quelle impatience ! Une tuerie, évidemment ! Et dans tous les sens du terme ! What else ? … on parle de Charly Reinhardt, voyons !! Une plume fluide, dynamique et parfois savoureuse, un vrai talent pour raconter les histoires et de l’humour, évidemment !! Même si ici, ce dernier point n’est pas ce qui est le plus caractéristique ! Un cocktail parfait pour vivre un moment parfait. Un univers savamment dépeint afin de nous plonger directement dans cette galaxie où le bien et le mal sont des notions assez floues, où choisir l’un conduit parfois au pire tandis que choisir l’autre pourrait éventuellement conduire... au moins pire ! Des tableaux minutieusement construits dans lesquels voler au milieu d’une nuée de météorites s’apparente à la traversée d’un champ de mines et où mourir peut éventuellement être une option. Un monde où les trahisons sont plus laides qu’un mollusque mais certaines amitiés aussi solides que le bouclier du Providence. Une histoire sur l’humain (oui, oui, vous avez bien lu !!), qui se trompe, aime, tremble, pardonne. Un récit de la différence. De la tolérance. Une aventure fabuleuse, de sauts de puces en sauts de puces parmi les étoiles. Et au milieu de ces voyages intergalactiques, de l’action et des rebondissements. Des sentiments aussi. Des rencontres, des découvertes et des décisions à prendre. Des décisions difficiles, voire impossibles. Et cette sensation, sans cesse renouvelée, de se trouver au cinéma, devant un film qui déroule son histoire devant nos yeux ébahis.

L’histoire d’un équipage. Des personnalités flamboyantes. Des origines diverses (et là, on ne se cantonne pas à la planète Terre, on voit beaucoup, beaucoup plus loin !!) crées avec un talent immense. Une galerie de personnages qu’on aime (ou pas !) guidés avec maestro par le chef d’orchestre de cette aventure incroyable, l’ingénieuse et superbement douée Charly Reinhardt ! Charly qui démontre à nouveau à quel point sa plume est riche et totalement addictive. J’ai lu ce roman, comme on boit du petit lait, avec la sensation que je n’en aurais jamais suffisamment (comment ça, je suis une goinfre ?) D’ailleurs, je n’en ai pas eu assez !! C’est un fait. Je commence même à me demander si je ne deviendrais pas adepte des pavés finalement, car j’aurais pu continuer encore longtemps en compagnie de cet équipage bigarré et tellement attachant !

Seul problème c’est que tout à coup, l’équipage du Providence m’a débarquée. Retour au point de départ. Terre – mars 2022 … bah… ce n’est pas folichon… je me demande si je ne préférais pas les faces de poulpes, finalement !

Voilà une lecture qui me laisse perplexe. Pas dans le style d’écriture, car l’écriture de Charly Reinhardt est toujours aussi agréable et fluide à lire. Non, ce qui coince à mon avis, c’est plutôt le contenu. Pour faire court, je dirais que pour un livre de science-fiction, le comportement des personnages, leur langage et leurs pensées sont restés très 21e siècle. Ce n’est pas le tout de faire évoluer ses personnages à bord de vaisseaux spatiaux au fin fond de l’espace, encore faut-il parvenir à créer une société nouvelle et en principe plus évoluée ; or là, il est encore question d’acceptation – ou non – de l’homosexualité (Patch p54 du livre papier : Quoi ? aboya-t-il. T’as jamais vu un pédé de ta vie ? Putain d’Alien rétrograde ! T’as un problème avec ça ?), de condition de la femme, de crainte d’une intelligence artificielle, d’expressions qui ne devraient plus avoir aucun sens dans plusieurs siècles : ma caille, mon lapin, poussin, Rambo, etc. Et n’y a-t-il pas de progrès de la médecine avec une éventuelle augmentation de l’espérance de vie dans l’univers futuriste de l’autrice pour qu’une femme de soixante ans se voie traiter de vieille bique au visage parcheminé tout au long du roman ? Autre chose qui m’interpelle personnellement : heureusement que l’histoire ne se déroule pas dans le passé et en 1789 plus exactement, parce que grâce à l’équipage du Providence, nous en serions encore à ployer l’échine devant un énième roi. Outre, le manque de compassion flagrant envers le sort des milliers d’individus réduits en esclavage, traiter ceux qui veulent la libération des leurs et la fin de l’esclavagisme comme des massacreurs de première est plutôt moyen, de même qu’accuser Vera Hender de tous les maux alors qu’elle est la seule personne à éprouver un tant soit peu d’empathie envers son prochain. Enfin bref, si on recherche un simple livre d’aventure avec des vaisseaux spatiaux, des personnages peu approfondis et une romance m/m « Destination Providence » sera parfait. Par contre, si on aime une science-fiction un peu plus ambitieuse et l’exploration d’une société nouvelle avec les progrès que ça incombe, « Destination Providence » restera très moyen.

J’ai terminé ce livre et je dois dire que je lui mets bien un 18/20, je ne suis pas une adepte des notes mais je pense que pour ce livre c’est important !



La seule chose que je reproche c’est que c’est dommage qu’il n’y ait qu’un tome avec tout l’univers que l’auteure a crée. Elle a imaginé des espaces, des planètes, des passés pour les civilisations et franchement on voit que c’est travaillé! Il y a des descriptions des bâtiments, des planètes, des personnages qui sont impressionnantes et splendides! Je dis vraiment félicitations à l’auteure pour tout le travail effectué! Comme dirait Drew, Poushran je suis impressionnée!

Ah oui, parce que je ne vous l’ai pas dit mais elle a aussi des langues pour les différentes espèces, quelques mots nous sont donnés de temps en temps !

J’avais juste l’impression de regarder une série ou un film, j’étais totalement dedans !



Concernant les personnages:

J’aime bien Drew c’est un personnage perspicace, curieux, courageux, fort, à l’écoute et d’un immense soutien.



Patch il m’a autant fait rire que mal au cœur. J’ai pleuré pour son passé et pour Nene. Mais j’ai ri de sa franchise, son manque de tact par moment, ses explosions de colère. J’ai aimé sa délicatesse et des attentions.



Lyn, je l’aime bien, je n’ai pas réussi à vraiment la cerner mais c’est une personnage loyale, forte, courageuse et avec un bon cœur !



Shaaki alors là je me suis régalée le personnage féminin bourrin par excellence je ne peux qu’aimer ! Elle n’a pas que des muscles elle a aussi un cerveau. Et j’aimerai bien en savoir plus sur elle et son Askaïk.



X7 ou Xjv7 je l’aime beaucoup! J’adore sa façon de parler: toujours politiquement correct et un langage soutenu. J’aime son puit de connaissance sans fonds.

Véra: je ne l’aime pas. C’est dit. Et ce n’est pas parce qu’elle est scientifique loin de là!



Je suis complètement fan!!!

Félicitations !!

Ayant lu plusieurs ouvrages de cet auteur, et les ayant tous appréciés, c'est avec entrain que je me suis lancé dans ce nouveau bouquin.

Il m'a cependant fallu plusieurs chapitres pour réussir à accrocher à cette histoire, n'étant pas habitué au genre Alien/SF.

Cependant, l'histoire évoluant on n'en vient à vraiment s'accrocher aux personnages, j'ai par ailleurs beaucoup aimé le personnage de Lyn, à la fois piquante et douce, ainsi que l'humour présent dans le livre qui ma fait sourire plus d'une fois !

L'histoire quand a elle progresse rapidement, même si je regrette certaines facilités. Je trouve que certains aspects de l'histoire sont trop vite oublié, comme la présence de l'IA.

Cela reste une belle découverte qui ma fait passé un très bon moment.

Encore une plaisante relecture ! J'avais aimé découvrir ces personnages à la sortie du roman et j'ai éprouvé autant de plaisir à les retrouver.

Des aventures, des vaisseaux spatiaux, une romance m/m… et une approche d'un possible futur que j'ai trouvé, hélas, très réaliste. La poursuite des avancées technologiques n'assure en rien l'évolution des mentalités. Il suffit de voir l'homophobie, le racisme, la régression de la condition féminine, etc., qui règnent encore en 2023 pour craindre que la violence et l'intolérance envers ce qui est différent risque bien d'être une constante, quelle que soit l'époque.

Heureusement par ailleurs c'est un récit assez réjouissant où l'humour est souvent présent.

Un très bon moment de détente que je conseille vivement.

Deux histoires. Deux douleurs.



La première se passe dans un lycée, une classe de cancres, de celle qu'on trouve dans les quartiers dit 'sensibles'.

Cette fin d'année 2004 marquera Jonas définitivement. C'est une de ces journées implacables, qui ravage tout sur son passage, de celles qu'on n'oublie jamais.

Sur le tableau une inscription "L'intolérance". Puis un vieil homme, Paul, qui viendra renverser le monde de Jonas avec son témoignage poignant. L'histoire d'un homme qui en aime un autre, celle d'un amour interdit, en temps de guerre. Un amour a jamais perdu, avec l'emprisonnement pour conséquence.

Un passé qui confronte un présent, et le bouleverse sans crier gare. Une journée, dans la vie de cet adolescent de 17 ans, ou plutôt une putain de tornade.



Ce texte n'a sûrement pas chamboulé que Jonas et sa classe ce jour là, je suis toujours scotchée de voir combien les mots de Barjy entaillent ma peau, je les sens toujours qui s'infiltre pour y rester chaque fois un peu plus. Cette histoire qui au final en est deux, m'a fascinée, j'ai revécu comme ces gamins l'épopée de cet homme, ce grand-père qu'on aimerait tous avoir. Un conteur qui captive son public, même les plus récalcitrants sont charmés.

Je suis resté d'abord subjugué par ce vieil homme, pour petit à petit m'émerveiller de Jonas. Ce jeune qui va se battre avec ses armes, et à sa façon pour ce qu'il croit. Ses choix et sa force face à l'amour m'ontq transcendé.

L'auteure m'a une fois de plus embarquée, je noterai juste que j'aurais aimé en savoir plus, ce fût trop peu pour moi. Même si l'histoire est posée, et les détails parfaitement choisis, j'aurais voulu faire davantage parti de la vie de Jonas. J'ai ce goût de trop peu, il a été ma tornade personnelle, il est venu, m'a retourné et a disparu, me laissant un immense vide.



La deuxième, je rentre dans le vif immédiatement, une réelle mise en garde s'impose, cette histoire n'est pas pour tout le monde, elle repousse les à prioris, et une certaine forme de morale. Greg, le personnage est un homme dans une recherche constante d'extrême. Une vie gouvernée par une envie d'autodestruction. Le tout condensé dans un corps de mal-être, une épave ni plus ni moins. Ce besoin de s'oublier dans le cul, la came, l'alcool et tout ce qui peut faire mal, et se blesser davantage. Comme une pénitence, une réponse à une vie de chien ou de chienne en l'occurrence.

J'ai eu du dégoût en lisant, je parle de dégoût car je me refuse une pitié pour cet homme, il ne la mérite pas et ne la voudrait pas de toute façon. Il est le reflet de ceux qui côtoient la noirceur, sans l'envie de voir le jour. C'est en cela que cette histoire m'a moins touchée, ça n'engage que moi, et ne remets pas en question la superbe plume de Charly, non c'est que je n'idéalise pas cette recherche du toujours pire.



C'est tellement plus facile n'est-ce pas ?



Ce ressenti, mon ressenti est purement personnel, je le précise, c'est ma façon d'appréhender un tempérament comme le sien. Certaines de ses déviances me parlent sûrement trop, et je n'y vois qu'une profonde antipathie.

En tout cas chapeau bas à l'auteure, ce flirt quotidien avec la mort est sublimement dépeint, et j'imagine qu'il a fallu mettre de côté une forme de morale, s'oublier un tant soi peu, pour donner vie à ce genre de personnage.



Ecrire, dessiner c'est comme une envie de pisser. Ça gêne, ça fait mal, c'est inconfortable, ça t'obsède au point de te rendre taré. Faut que ça sorte. Maintenant. Pas demain. Pas dans trois semaines quand t'auras fait un beau petit planning. Maintenant ! T'as envie de pisser, de cracher, de baiser. Tout ça à la fois. Alors tu pisses, tu craches et tu baises. En couleurs, steuplait.



Encore merci aux éditions Mix pour ce service presse que je voulais tant. Et merci aux auteures.

► 𝑼𝒏 𝒓𝒆𝒈𝒂𝒓𝒅 𝒔𝒖𝒓 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆, Barjy L :



Une nouvelle qui m’a touchée, que j’ai trouvé mélancolique et à la fois porteuse d’espoir. Jonas est un jeune qui peine à assumer sa sexualité dans un milieu où il est certain d’être jugé, insulté, et peut-être pire encore, pour être ce qu’il n’a pas choisi d’être. À l’instar du lecteur, il plonge dans le récit d’un vieil homme, dont l’histoire tire en plein cœur.



J’ai trouvé l’idée vraiment belle. J’ai reconnu la plume de Barjy L dès la première phrase et je me suis laissée être immergée dans la narration, où demeure une dualité terrible. Jonas a le cœur morcelé, tiraillé, et ce qu’il songe à faire va au-delà de tout ce qu’il pouvait imaginer. C’est un adolescent perdu comme beaucoup le sont, qui ne se questionne plus, mais qui ne sait plus quelle voie emprunter. Son témoignage est poignant, sa vie gavée de peine et d’espoir. Je l’ai trouvé si vrai que ses mots pouvaient appartenir à n’importe quel autre adolescent dans son cas. Une nouvelle voix, je remercie Barjy d’avoir donné la voix à toutes celles qu’on n’entend jamais.



► 𝑫𝒆 𝒃𝒍𝒆𝒖 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒓𝒐𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆, Charly Reinhardt :



Alors là. Je connais la plume de Charly Reinhardt, je sais combien elle peut taper fort. Mais je ne m’attendais pas à ce que ça soit à ce point-là. Les mots de cette nouvelle m’ont frappé le cœur et je dois avouer qu’ils m’ont presque retournée. Le personnage de Greg est poignant. Il émane de lui une telle douleur qu’elle en est palpable. Et pourtant, je n’ai pas trouvé de surplus de pathos.



Cette nouvelle est forte. Elle secoue, elle fait prendre conscience, elle bouscule autant qu’elle fait réfléchir. Un monde gavé de couleurs, que Jonas nomme et auxquelles il donne vie. Je sais qu’une des « thématiques » de cette nouvelle peut heurter, moi-même je ne la « tolère » pas vraiment, mais je suis passée outre pour saisir le sens premier de la nouvelle et tout ce qu’elle dégage, ce qu’elle montre ou fait voir à sa manière.



Le vocabulaire est féroce, mais peut aussi être doucereux. Il s’ancre parfaitement avec la mentalité de Jonas et le monstre qui le suit où qu’il aille. Sa dépression l’accompagne partout. Elle pèse sur ses épaules, le traîne et le bouscule.



J’ai apprécié cette nouvelle dans le sens où elle est crue et qu’elle dépeint des réalités sans aucune censure. C’est une réalité, et qu’on refuse de la voir ou pas ne changera rien à ce qu’elle est : comme un mauvais rêve qu’on préfère chasser plutôt que de l’affronter. Cette nouvelle est le mauvais rêve de Jonas, et j’ai sincèrement adoré suivre son périple et son combat avec l’addiction et la maladie.





En résumé, la plume des deux auteurs se marie parfaitement bien ; elles contrastent l’une avec l’autre et se complètent à la fois. Les thèmes ne sont pas les mêmes, mais ils n’en demeurent pas moins complémentaires. Connaissant l’écriture et les histoires des deux auteurs, j’ai été heureuse de les retrouver dans deux nouvelles touchantes et percutantes.

Tout d’abord merci à Mix-Editions pour ce service presse et leur confiance.



Ce livre est composé de deux histoires, chacune écrite par une des deux auteures. Elles sont l’une et l’autre bouleversante, même si l’histoire de fond n’est pas la même.



Ma préférée va à la première histoire Un regard sur notre histoire.



Imaginez une classe de lycéens, obligé de participer à des débats. Ce jour-là le sujet est l’intolérance. Blasés, le sujet ne les intéresse pas du tout. Après tout, il suffit pour eux de regarder autour d’eux les membres de leur classe, il y a tout ce qui peut se faire en source d’intolérance. En plus de subir ce débat, un invité est là ce jour-là. Un ancien combattant. Se coltiner un débat, c’est déjà barbant pour eux mais en devoir supporter les souvenirs d’un « papy’, rien de pire. Sauf que… le « papy » est homosexuel et l’était alors qu’il était soldat. Part de là alors son histoire, le fait d’être gay et soldat pendant la deuxième guerre mondiale. Les conséquences qu’une telle relaton peut amener.



L’histoire est du point de vue de Jonas et il se sent tout particulièrement concerné. Il se sent proche du « papy ». Cette histoire m’a amenée beaucoup d’émotions et pas que sur l’homosexualité. Au fil des souvenirs de cet ancien combattant, Jonas va voir ses camarades avec un nouveau regard. Il va se rendre compte que l’intolérance est très présente. Et il se questionne. Il se questionne sur ce que l’on dirait sur lui si on savait qu’il est gay. Il va aussi avoir le cœur brisé lorsqu’il se rendra compte d’une chose qui va changer tout pour lui. J’ai pleuré à certains cris du cœur venant de certains de ses camarades, jetant à la figure leur ressenti, leur douleur. Ce qui va décider Jonas, une bonne fois pour toute. Quant au professeur ? J’aurai aimé le même, tellement compréhensif, tellement à l’écoute. Comprenant d’un regard les tourments de Jonas, sa peur. Une vraie leçon de vie, une énorme leçon de tolérance.



La deuxième histoire De bleu et de rouille n’est pas à lire pour tout le monde. J’ai moins apprécié car je ne suis pas très à l’aise avec cela. Le personnage a vraiment une âme noire, pas du genre à vouloir qu’on le sauve, ni vouloir sortir de tout cela. Il cherche toujours le pire et encore le pire, c’est comme si c’était sa kryptonite. Même s’il faut vraiment saluer l’écriture de l’auteure pour pouvoir mener à bien cet univers où flirter avec la mort, repousser toujours plus loin n’a pas du être évident. J’ai été vraiment mal à l’aise avec ce côté vraiment sombre, sûrement mon côté qui voudrait que ce genre de personnage réussissent à s’en sortir, alors que ce n’était pas du tout le but de cette histoire. Même si la fin laisse une lueur d’espoir dans une amélioration de sa vie, on le sent quand même toujours perdu. Même s’il donne l’impression de vouloir s’en sortir. Malgré cela, ça ne m’a tout de même pas empêché de finir ma lecture. Cela n’engage que moi qui ne suit pas adepte du trash car j’ai déjà lu d’autres livres de l’auteure et les ai appréciés.




Lien : https://lesperegrinationsdun..

Un magnifique recueil de cinq petits contes qui va vous faire vibrer au plus haut point avec le thème qui est d’ailleurs très bien choisis : La Magie de l’hiver …

[...]

MERCI à ces Cinq Fées ! Cinq Auteurs qui ont su me faire rêver et me faire vivre de Grands Moments d’Emotions. Fées d’Hiver est un Délicieux Recueil à Lire sous une couette et à Déguster Sans Modération !
Lien : http://wp.me/p5AuT9-1j7

Fées d’hivers est un recueil de nouvelles qui possède davantage qu’une belle couverture.



Il contient des styles d’écriture originaux, tous différents les uns des autres, mais offrant unanimement des récits fluides et agréables à lire.



Toutes les histoires répondent parfaitement au thème majeur qu’est l’hiver, qu’ils se situent dans des décors anciens et mythiques ou des lieux plus modernes.



Ce melting-pot forme un ensemble, tout ce qu’il y a de plus cohérent, et qui possède le mérite de faire perdre au lecteur ses acquis. Alors que l’on croit avoir deviné comment toutes les nouvelles vont se terminer, eh bien non, le recueil surprend jusqu’à la toute fin.



À tous ceux qui souhaiteraient avoir un bon livre à lire au coin d’un feu de cheminée, ce recueil est parfait et fera frissonner de tout, mais pas des froids.
Lien : http://www.bookkyuden.com/pa..