Chapitre 12 :
“Je me fous des autres, Aya. Personne n'a jamais compté pour moi. J'ai toujours vécu comme un putain d'égoïste et j'étais bien comme ça. L'humanité me débecte. Les humains et toutes leurs tares me mettent la rage. Mon paternel et ses semblables m'ont ôté toute envie de me mêler à la civilisation. Avant toi, il n'y avait que la Musique, et puis rien d'autre.”