Angelo Perosino errait maintenant depuis des heures dans les ruines du Colisée en compagnie des deux mystérieux individus qui s’étaient présentés comme étant l’agent Stone et l’agent Miller, deux noms d’emprunt évidemment. Le jeune chercheur était convaincu qu’il s’agissait d’agents de la CIA, d’autant plus qu’il avait suffi d’un bref conciliabule avec les policiers italiens postés au détecteur de métaux, à l’entrée du Colisée, pour que les armes de Miller et Stone, rangées dans des étuis sous leur aisselle, leur soient immédiatement restituées.