Ce règlement signifie que toute cotisation encore due à la classe d'âge, à l'association de la ville d'origine, au village, au clan-l'umunna- doit être payée, faute de quoi l'enterrement sera boycotté. Menace puissante que le boycott d'un enterrement. Pour la plupart des Igbos, du moins ceux de la génération de mon père, être privé d'obsèques convenables est une peur presque existentielle. (p. 76)