J’ai remarqué que, quand on est vraiment crevé et malheureux, suivent un rythme fait du bien. Si on y arrive, on peut continuer, ça fait une sorte de sommeil. Mais si quelqu’un parle ou s’arrête ou s’il se passe quelque chose qui casse le rythme, ça redevient dur à supporter. Alors, on a continué d’avancer et d’avancer, et on n’a plus rien dit pendant un très-très long moment.