Les femmes qui s’embauchent à l’hôpital, en cette première moitié du xxe siècle, sont heureuses de trouver un emploi, ce poste qui pourrait devenir stable et leur permettrait d’échapper quelque peu aux tourments du temps. Le travail leur octroie une utilité sociale, une identité qui passe par d’autres éléments que l’inscription dans une lignée. Ce n’est certes pas une malédiction, et c’est plutôt comme une félicité que ces femmes considèrent le fait de travailler.