Une belle averse succédait à une succession d’ondées. Les nuages s’amoncelaient dans le ciel, et la valse des parapluies animait les rues de Londres. Elle rappela à Higgins L’Ode à l’eau céleste de la grande poétesse Harriet J. B. Harrenlittlewoodrof, promise au prix Nobel de littérature.
« Chevaux aux crinières de vent, écrivait-elle, passants sans visage, douces caresses des nuées, vous baignez de couleurs inquiètes mes pensées alanguies. ».
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