C'était pour cette raison : trouver les signes, ce qu'il y aurait de différent, qu'il s'était levé si tot ce matin-là. Mais non, si tout était blanc, d'une beauté parfaite, rien n'avait vraiment changé ; la montagne demeurait aussi immobile, les terres toujours aussi pentues, les bois aussi épais, le vent toujours aussi mordant. François se dit que la journée ne venait que commencer, et qu'il se passerait surement quelque chose avant la tombée de la nuit. Il suffisait d'attendre.