Le terrible hiver 41-42 parut ne devoir jamais finir. Le cerfs soufflait sur la plaine languedocienne en rafales rageuses, qui incitaient plutôt à travailler dans les caves qu'à affronter un froid très vif et très inhabituel. Les hommes avaient donc déserté les vignes, en guettant les signes d'un temps plus clément qui permettait de commencer les travaux de taille.