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A plus petite échelle, nous en avons déjà tous fait l’expérience : il suffit parfois qu’un seul collègue de travail soit de mauvaise humeur pour créer un climat de pagaille dans tout un service. Pourquoi refuserions-nous l’idée que des individus épanouis, moins frustrés, plus reposés et finalement mieux dans leur peau puissent répandre autour d’eux une atmosphère plus détendue et plus harmonieuse ?