- Tu as toujours le goût de la cannelle.
Elle laisse échapper un soupir rauque.
- Tu as un goût merveilleux.
Je sais que je tente le sort, mais je ne résiste pas à me pencher pour l'embrasser sur le coi de la bouche puis sur la joue.
- On n'avait pas arrêté ?
Elle pose plus qu'elle ne l'affirme. Comme moi, elle ne sait pas où nous en sommes.
- Si.