Je me suis rendu compte que ce qui me minait le plus, c’était tous ces moments où je râlais. Faire les choses en bougonnant, s’énerver sur son ordinateur, râler dans sa voiture, se raconter les derniers potins avec les autres, se plaindre des enfants, soupirer, bougonner, chigner, râler… Cela me polluait la vie et, soyons réalistes, c’était tout à fait stérile.